L'histoire se déroule plutôt fluidement, avec quelques passages qui prêtent à sourire ou à contemplation. C'est un brin stéréotypé (la méchanceté du père, l'amour des chiens, la transidentité comme refuge, la figure christique, etc.), mais sans que ce soit forcément gênant. J'ai même eu le sentiment de voir un Disney comme j'aurais pu en voir dans mon enfance (typiquement avec ces gênes de chiens qui comprennent tout).
Dommage que le méchant n'ait aucune profondeur, vienne comme un cheveu sur la soupe, et ne représente pas vraiment un enjeu.