Ce film est à Dracula ce que Excalibur de John Boornman est au Roi Arthur : une vision baroque outrancière kitsch hyper sexualisée fait avec sincérité mais alors la narration est hyper bordélique et va à fond la caisse nous empêchant en conséquence de profiter de ses scènes et de son impact émotionnel mais l'aspect visuel reste avec nous plus que son histoire ou ses personnages.
A voir aussi afin d'y voir un certain retour de Coppola à ses racines de réalisateur de série B avec Corman qu'il faisait dans les années 1960 avant de réaliser le Parrain.