Chef op : Luciano Tovoli (Suspiria !!!!)
Prod : Giovanni Paolucci (alias Gianni Paolucci) producteur des derniers films de Bruno Mattei (...)
B.O : Claudio Simonetti (dernier rescapé des Goblins...)
Maquillages : Sergio Stivaletti (Démons 1 & 2)
Enfin bordel ! Je me suis forcé de regarder le film à quatre reprises - entre deux branlettes et demie sur mon nouveau porncrush Dava Foxx la hipsteuz à lunettes - et attends, il me reste encore le final, paraît il gratiné... Au mieux, voici un hommage raté de la Hammer sans aucune poésie graphique, avec deux ou trois scènes gentiment gore, une bande originale réussie et des purs plans nichons sans silicone. Au pire, un nanar pas très marrant d'un réalisateur qui ne retrouve pas la grâce depuis Ténèbres. Ce film Argento's Dracula est une purge, inutile, mal joué (sa fille a la palme, faudrait qu'elle se calme la Frida Galeuse), les éclairages sont hideux - surexposés, en dépit des conventions de la lumière réaliste dont celle de Barry Lindon serait le parangon - les effets numériques dignes d'un court métrage des années 90, le scénario est tellement paresseux... Il n'y a presque rien à garder à part la présence de Rutger Hauer en fin de parcours mais toujours digne et notre obstination à vouloir croire qu'Argento va revenir de nouveau avec un chef d'œuvre ou un bon téléfilm comme Jennifer (histoire issue d'un Creepy...). J'ai lu ici et là des critiques tellement trop laxistes et masturbatoires sur ce film que j'ai la gâchette facile certes mais arrêtez de déconner, je vais me transformer en mante religieuse et vous bouffer tout cru les journaleux. Je retourne pour le final ou je regarde la météo sur BFMTV Paris ? La présentatrice est tellement bonne Meuf qu'elle me rappelle Sainte August Ames. Paix encore à son âme. Nos bites dressées sont les crucifix d'amour et foi tendus vers cette madone du porn, partie trop tôt. Hymen.
A vous de redorer le blase de Dario ... Je suis ouvert au dialogue (...)