Inspiré du roman et adapté du théâtre, réalisé par Badham en supernumérique anamorphique panavision avec un petit budget, c'est un gros succès et 1 prix meilleur film. Dracula commence par les personnages à travers l'arrivée du comte sur les côtes britanniques, dans un hospice de malades mentaux. Les détails et les personnages se rassemblent dans une ambiance fantastique en dévoilant les enjeux qui s'engagent sur les relations, avec l'apparition du comte.
Les images d'époque entament le récit par une rencontre des intervenants qui provoque l'entrée dans une dimension surnaturelle. Le style du cinéma ancien déferle avec la vision classique de cette histoire qui plonge dans le poison du romantisme, en réveillant les instincts de la créature. Le spectacle effrayant perpétue la tradition du mythe avec des éléments imperturbables, sur une technique académique agréable.
La mort rôde pour lancer l'investigation sur une histoire éternelle aux lenteurs interminables, qui se développe dans un sortilège puissant. La longue romance poursuit la frayeur aux effets fantastiques qui remontent les indices en engageant le combat aux créatures. La lutte referme l'intrigue dans les griffes de la créature avec un affrontement terrible, lors d'un dénouement effrayant, pour cette œuvre qui offre des notions théâtrales avec un esthétisme fidèle à l'adaptation du mythe et des acteurs intéressants, mais avec de longues parties assez fades.
Entrées Salles France : env. 340.000 - Entrées Salles Usa : env. 8.330.000.
> https://youtu.be/w8mbmSijd4o