Je m’insurge contre les membres qui ont le front de prétendre que ce film s’approche de la perfection, allant jusqu’à confondre le statut de blockbuster avec celui de chef d’œuvre. Car, oui je l’affirme sans ambigüité, ce film est bien à ranger dans la catégorie des blockbusters, avec tout ce que cela veut dire. Détaillons si vous le voulez bien. Il s’agit d’une deuxième partie, ce qui signifie que toute personne sensé ayant vu le première partie souhaite voir cette seconde partie, sauf bien, entendu si la personne en question a senti venir les objectifs de cette seconde partrie. Qui dit blockbuster dit volonté de toucher un maximum de spectateurs, en le rendant accessible à un public le plus largte possible. Dans ces conditions, il faut bien avoir en tête qu’on vise le gros de la troupe, c’est-à-dire ceux qui ne se posent pas troop de questions et qui sont prêts à gober plus ou moins n’importe quoi tout en absorbant leur dose popcorn. Donc, il faut du spectacle (je veux dire de la grosse machinerie), du bruit et un scénario qui ne pose pas problème particulier de lisibilité. La durée a également son importance, il faut que les spectateurs se disnet en choisissant leur film qu’ils en auront pour leur argent. Et puis, pour attirer celles et ceux qui choisissent leur film un peu au hasard, il faut quelques tetes d’affiche. Nosu avons donc le beau Timothée Chalamet qui plait beaucoup aux petites jeunes (voir Les cahiers d’Esther) et quelques noms qu’on connaît pour des rôles ceretes secondaires, mais dont on peut se vanter. L’intrigue comporte aussi, par opposition au gentil Paul (T. Chalamet) un méchant qui fait état avant toput de son physique de gros dur qui ne sepose pas de question. Pour le public sentilmentakl, nous acvons une histoire d’amour entre le gentil et la charmante Zendaya qui fait d’autant plyus son effet qu’on ne la connaît pas trop. Pour le bruit, nous avons Hans Zimmer (qu’on ne présente plus) à la BO. Désolé, mais il est bein ici question de bruit plutôt que demusique, il faut que de temps en temps ça déménage. Et pour les vieux de la vieille, l’argumpent massue, c’set que nous avons une po_inture cinématographique à la réalisation en la personne du canadien Denis Villeneuve qui adapte un roman culte de SF, Dune qu tout le monde fait comme s’il le connaissait par cœur parce que c’set une référence absolue du genre. Mais, parmi la jeune génération, qui l’a lu ? A noter au passage que le roman initial est suivi de plusieurs autres. Donc, si tout cela fonctionne, c’est la porte ouverte à une nouvelle saga particuluièremnt rent-able. Parce que ne l’oublions pas, l’essentiel est bien de faire de l’argent avec un projet partriculièrement rentable. Le principe du blockbuster est bien de toucher le public le plus large possible pour faire le meilleur chiffre d’affaires possible pour justifier l’investissement de base. Donc, il ne faut pas hésiter à mettre les moyens et réserver quelques scènes où justement, on montre qu’on amis les moyens. Pour cela, nous avons quelquess cènes avec de l’espace, un décor granduiose et une multitude de figurants. Problème, ces figurants sont si minuscules à l’écran qu’on sent immédiatement que tout cela n’est que de la poudre aux yeux. Merci aux effets spéciaux qui permettent de faire passer tout cela très vite, afin qu’on ne puisse pas distinguer grand-chose. Le principe du cinéma étant de donner des impressions, on s’en contente, quitte à faire sentir que ce ne sont que des impressions. C’es(t vrai quoi, concentrons-nous sur l’action. Donc, l’aspect philosophique de l’hsitoire passe à l’arrière-plan et on néglige complèteemntn cerraines incohétrences. L’originalité du monde d’Arakis occupait suffisamment de place dans le premier volet, on peut la négliger dans le second : on vit sur szes acquis. Que dire du film lui-même sinon qu’il véhicule zéro subtilité, qu’il est trop long et qu’il ne fera pas oublier l’adaptation décriée de David Lynch. On se contente d’une opposition primaire entre un gentil et un méchant, l’Empire est évoqué mais sans que les véritables enjeux qui devraient motiver les actions des uns et( des autres soient clairement amenées. On navigue dans un flou qui met au second plan tout ce qui ne concerne pas l’opposition entre le gentil et le mécghant. C’est-à-dire qu’on gomme quasiment tout ce qui fait le sel du roman et on se contente d’illustrer les moments clés de l’intrigue de manière insipide. Franchement, que retiendront ceux qui ne connaissent pas le roman ? Quel pourcentage aura envie de lire le roman après avoir vu ce film ? Pour toput dire, à-côté de moi dans la salle, est venu s’installer un groupe de jeunes et mon voisin a regardé son téléphone x fois pour consulter l’heure. Ces jeunes sont venus voir ce film parce que leurs potes l’ont vu ou en parlent. Mais leur conclusion mettra ce filmau rang d’objet de consommation parmi tant d’autres. Triste réalité pour l’adaptation d’un chef d’œuvre de la SF, même si certians pourront dire qu’il date un peu, les années 60. Pourtant le thème de la raréfaction de l’eau qui en fait une denrée précieuse est partriculièrelment d’actualitré. Il aurait été judicieux de faire le parallèle…