8
Bonne baignade
Le couple le plus heureux de la terre décide de partir camper à la belle étoile dans un endroit magnifique que seul le mari connait, une sorte de surprise car ce dernier prévoit de demander sa belle...
Par
le 5 août 2010
38 j'aime
5
Le site est en ligne, vous pouvez désormais revenir à vos activités habituelles. On vous remercie pour votre patience et votre soutien ! (Il est encore possible que le site rencontre quelques problèmes de performance)
L'étang joue contre elle
Un week-end tranquille au bord d'un lac. Monsieur va proposer à Madame de devenir son épouse. Tout cela est formidable, sauf qu'une bande de jeunes fort bruyant vient troubler la petite virée. Du bruit, d'abord. Puis des insultes. Un vol de voiture. L'alcool aidant, tout cela part en sucette.
Unité de lieu, presque de temps, "Eden Lake" propose une variation british de "Delivrance". Plus violente et tout aussi flippante. Kelly Reilly n'a peut être pas la moustache de Jon Voight mais elle fait tout aussi bien la proie. Un soupçon de "Sa Majesté des mouches", le terrifiant Jack O'Connell (Cook de "Skins") et tout cela fait un très bon survival.
Unité de lieu, presque de temps, "Eden Lake" propose une variation british de "Delivrance". Plus violente et tout aussi flippante. Kelly Reilly n'a peut être pas la moustache de Jon Voight mais elle fait tout aussi bien la proie. Un soupçon de "Sa Majesté des mouches", le terrifiant Jack O'Connell (Cook de "Skins") et tout cela fait un très bon survival.
7
Écrit par
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Ma fille aura pas le droit de le voir, 2008 et Ces films où des gars bien urbains découvrent le visage amical de la campagne
Créée
le 12 sept. 2010
Critique lue 860 fois
11 j'aime
2 commentaires
D'autres avis sur Eden Lake
7
Children of the damned
J'ai pas eu de bol ces derniers temps! Je suis dans une phase films d'horreur, et je me suis dit que ça pourrait être bien de regarder autre chose que les classiques du genre que je n'avais pas...
Par
le 4 oct. 2012
36 j'aime
9
8
Un survival de haute tenue
Ultra-référencé, ce survival est un mélange étonnant se trimbalant aussi bien du côté de "La Dernière maison sur la gauche" (1) que de Haneke ou de Loach. Le malaise s'installe progressivement,...
Par
le 15 mai 2011
24 j'aime
4
Du même critique
4
Bane à ordures
Jusqu'alors DKR signifiait, pour le geek averti, Dark Knight Returns. Une oeuvre majeure dans la bibliothèque de Batman. Quelque chose d'adulte et de complexe. Tout ce que n'est pas TDKR. Qui n'est...
Par
le 19 juil. 2012
121 j'aime
130
1
La blague américaine
En terrain conquis. Le mec de "la Classe américaine" à Cannes? Ça clignotait de partout: ce film est fait pour moi. 5h34 plus tard (en réalité, le film est un poil moins long), j'avais l'impression...
Par
le 15 mai 2011
106 j'aime
66
10
Melancholia and the infinite sadness
Bon, Lars von Hitler à 8 heures du mat, c'était pas gagné (qu'est-ce qu'on ferait pas pour voir des films danois avant les autres)... Mais se réveiller devant un astre sombre, sombrer avec ces jeunes...
Par
le 18 mai 2011
105 j'aime
23
