On a franchement vu mieux. Quel ennui. J'aimerais bien que l'on m'explique (sincèrement) comment des décors de carton-pâte et des dialogues badins ont obtenu une telle place dans une anthologie du cinéma romantique. Heureusement que le cinéma des années 60/70 est venu rattraper les erreurs post-guerre.
Amateur.trice.s de Cary Grant, répondez-moi. Qu'est-ce qui vous plaît chez ce grand dadais rachitique carbonisé par des UV cancérigènes ? Sans parler de Deborah Kerr... elle livre une prestation féminine qui laisse dans l'histoire du cinéma une image de femme aux deux neurones obsédée par son apparence et son promis...