Quand le spectateur ouvre les yeux sur le paysage social et psychologique que Loach lui dépeint, il découvre que c’est le sien.
21 août 1996, Journal d'un cinéphile prépubère
Voilà un film après lequel on ressort pour le moins terrifiés…
Ce n’est pas seulement le contenu du drame qui est terrifiant, c’est aussi et surtout sa mise en œuvre, sans quoi le drame serait peut-être insignifiant. Première découverte pour moi de ce genre de cinéma appelé Free cinema venu d’Angleterre.
Le sujet du film : un rapport de force entre une fille démunie et ses parents. Le déclin de la jeune fille s’accentuera quand, pour la “soigner”, la “société” utilisera des méthodes discutables. Un sujet propice à une bonne mise en scène. Au final, restera de ce spectacle une satire sociale et familiale, une dénonciation des dysfonctionnements de notre société.
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