La technique de stop Motion particulière est un peu déroutante au début. Mais la poésie de Rohald Dahl et la malice de Wes Anderson donne a ce compte une vraie consistance avec des personnages attachants et une morale pour quasiment chacun d’eux.
Le tout magnifiquement accompagné par une bande original de l’excellent Alexandre Desplat, qui donne le côté enfantin de ce moyen métrage contrastant avec une thématique finalement bien plus adulte.
Reste tout de même qu’il y a quelques longueurs (un format 45’ aurait sans doute été plus efficace), et quelques facilités dans l’écriture, mais qu’on pardonne facilement devant la qualité générale de cette œuvre.