En 1966 de Funès connait son plus grand succès avec La Grande Vadrouille de Gérard Oury (17 millions d'entrées) qui va le propulser au rang de star n°1.
Et le 3e Fantomas est tourné juste après La Grande Vadrouille donc pour ce film oui LA star c'est de Funès et franchement ça se voit, Jean Marais est vraiment reléguer au second plan, mais faisons d'abord un résumé du film.
Fantomas dresse un impot sur le droit de vivre aux plus grandes fortunes du monde et notamment à Lord Mac Rashley, la 3e fortune du monde, ce dernier décide de capturer Fantomas à son chateau avec comme appat nos protagonistes et je vais m'arreter là, parlons des acteurs.
Jean Marais (Fandor,Fantomas) disons le dans ce film il est clairement au second plan, franchement durant la première heure il est quasiment absent on le voit mais il n'apporte rien, il faut attendre la fin pour qu'il soit "utile".
Louis de Funès (Juve) c'est sans doute dans ce film qu'il nous offre une de ses meilleurs prestations car tout ce qui a dans le chateau c'est le prime du film.
Mylène Demongeot (Hélène) tout comme Marais elle est au second plan derrière de Funès.
Jacques Dynam (Bertrand) meme lui sensé etre le second de Juve est clairement au second plan si on compare aux 2 premiers.
Jean Roger Caussimon (Lord Mac Rashley,Fantomas) il est le seul à incarné Fantomas à part Jean Marais et c'est une des principales raisons de la réduction de temps de présence de Jean Marais
car toutes les scènes ou Fantomas prend la place du lord sont joués par Caussimon.
Ce 3e film est sans doute le plus horrifique et niveau ambiance dans le chateau c'est vraiment top on est un peu dans un huit clos après globalement ce film est inférieur aux deux premiers, le rythme est moins bien rythmé, les scènes sans de Funès sont rapidement lassantes (à part la scène d'intro).
Un 4e film était prévu : Fantomas à Moscou ou on aurait du entre autre apprendre que Fantomas est le père de Fandor, j'aurais adoré une scène "Je suis ton père ! ", parfois j'y pense mais il n'aura jamais exister un peu dommage, mais au vu des relations tendus entre de Funès et Marais, compréhensible.