Fast & Furious 6 par giannihuchet
Ah ce dimanche ! Il avait pourtant bien commencer. Petite aprem glandouille à regarder La ligne rouge de Terrence Mallick jusqu'à ce qu'on me propose d'aller voir Fast and Furious 6 en AVP au grand rex. Sur le coup je savais pas trop, j'étais un peu partager entre une bande annonce qui ne me branchait pas du tout et l'envie de découvrir la suite de FF5 qui était franchement sympathique (accessoirement passé une bonne soirée entre potes devant l'un des plus grand écran d'Europe). Finalement après moult réflexions j'ai décidé d'y aller.
Bon alors déjà j'arrive dans la salle qui était encore plus blindée que la veille lors de la nuit star trek, va comprendre. Je jette un coup d’œil à la populace, j'ai tout de suite compris que l'ambiance serait pas pareil. Le grand public comme j'aime l'appeler quoi, mon oncle mais étalé sur 300 sièges vous voyez? Le pire c'est que sur 300 sièges il a fallut qu'on soit derrière le mec qui a le rire le plus fort et le plus pourris de la salle. Le film avait pas démarré que ça commençait déjà très mal.
Le film commence, bon déjà ça pue bien le réchauffé quoi, mais bon ça se voyait dans la bande annonce, pas trop de surprise donc. Les 20 premières minutes s'enchaine sans trop de difficultés excepté l'excuse bidon qu'ils ont utilisé pour faire revenir l'équipe (presque) au complet. Le scénario est écrit sur un vulgaire carré de PQ mais encore une fois, pas trop de surprise de ce coté la non plus. La première scène de poursuite dans Londres est sympathique mais la c'est le drame, une cascade irréaliste, une ! Et mal foutu en plus. Merde vous êtes pas sérieux...
Une fois ce moment passer c'est la dégringolade, Il y a plus d'essences dans le réservoir comme on dit. Des dialogues ennuyeux et des blagues qui ne font même plus mouche. On nous présente un espèce de méchant hyper caricatural ké tro d4rk parsskil a ein plan dan sa taite, dans le même genre on a John Harisson de Star trek Into darkness ou le Joker de The dark Knight, a la différence qu'il y avait une bonne écriture derrière et surtout des bons acteurs.
Si il y a bien une chose que je ne pensais pas ressentir en regardant ce film c'est bien l’emmerdement. Pourtant c'est mission accomplie. Ça parle pour rien dire, Le vilain blablate de truc dont on s'en fout royalement. En faite j'ai rien compris au pourquoi du comment qu'il est vilain tellement j'étais ailleurs. Faut dire que Michelle Rodriguez (de retour alors que sa mort était le seul point positif du 4) aide pas trop à rester éveiller tellement sont jeu d'acteur est aussi pitoyable que ma façon de cuisiner, ma copine peut témoigner.
Zzzz.... AH ! Enfin une scène d'action ! La scène du char !.... Quoi?..... Non elle va pas sauté du char.... Non Vin Diesel ne va quand même pas la rattrapé en plein vol avec des effets spéciaux mal foutu quand même, vont pas faire ça pitié !..... Ah ben si...
Je vais être franc, c'est surement l'une des cascades les plus NULS que j'ai pu voir dans un film. Ce sont des dieux de la conduites, pas des dieux tout court ! Putain c'est MAN OF STEEL avant l'heure?! Il manquait plus que la cape a Diesel et c'était un film MARVEL. Vous voulez savoir le pire, tout les 300 cassos présents dans la salle ont applaudit. Tous? Non ! une bande de 3 mecs résistent encore et toujours fasse a l'envahisseur "lobotomie Hollywoodienne". En faite pour faire simple, chaque scène d'action a le droit à sa cascade de merde.
Il est inutile que je parle de la scène de l'avion avec sa piste d’atterrissage qui fait la longueur de Belle ile en mer(17km) et des courses de rues en plein Londres avec les connes en bikini. Franchement vous imaginez des courses de rues dans Paris avec des meufs en Bikini et rouge à lèvre couleur rose biatch à minuit? Moi non, ben ici c'est pareil.
Finalement, pendant que moi je me tenais fasse à l'un des plus gros tas de merde de l'année, ma copine, elle qui finalement n'était pas venu avec nous, était au chaud dans son lit à regarder I robot, un petit film de SF sympathique avec Will Smith qui ne pète pas plus haut que son cul. Comme quoi on a pas besoin d'un des plus grand écran d'Europe pour passer une bonne soirée film.