Critique écrite initialement en février 2019 après ma découverte du film
Après le décès de Paul Walker (et donc le départ définitif de son personnage), il as fallu que Chris Morgan retourne à zéro et reparte de Dom, qui vit une vie paisible avec Letty… mais il est vite retrouvé par une vieille connaissance : une certaine Cypher (Charlize Theron, très belle, sexy juste ce qu’il faut, qui finit par être véritablement insupportable), qui, et ça va on va l’apprendre, au bout d’un certain temps, tient son fils en otage.
De son côté, Luke Hobbs, préférant s’occuper de sa fille, que de traquer les méchants est engagé pour retrouver un truc dans une base militaire allemande.
Nous ne verrons rien de comment l’équipe s’y est pris mais assez de dégâts après leur départ de la base militaire, mais Dom trahit son équipe et se tire avec le truc.
L’équipe est dévasté. Hobbs est (faussement) condamné en prison où il croise Deckard Shaw.
Et on comprends très vite pourquoi un spin-off, qui sortira en salles le 07 août prochain – à été conçu avec ses deux là qui s’envoient des punchlines à mourir de rire.
On sent une complicité réelle entre Dwayne Johnson et Jason Statham.
Car, une nouvelle fois, c’est la force des dialogues : non seulement punchys, mais aussi parfois bourrés de jeux de mots subtils, qui est une des qualités du film.
Côté casting, on retrouve le fade Scott Eastwood et un Kurt Russell toujours en grande forme (dans un rôle que j’aurais bien vu pour James Woods par son bagout et son charisme).
On pense à « Mission impossible » : quelqu’un qui engage une équipe pour une mission.
Ainsi qu’à la saga Jason Bourne pour la traque informatique et bien plus tard à « Meurs un autre jour » très clairement.
Que des voitures soient télécommandées à distance et qu’il y une véritable pluie de voitures à New York est impressionnant bien sur, juste avant une séquence, très profonde émotionnellement.
L’action est vraiment saisissante, sans être trop cruel (contrairement au sixième opus) et les méchants comme Deckard Shaw se révèlent quand même des gentils, très attendrissants, comme dans ce morceau du film, gros coup de cœur perso où Deckard fait de son mieux pour sauver le fils – alors dans un berceau, et lui mettant un énorme casque audio sur les oreilles – de Dom des méchants. Absolument irrésistible, Jason Statham très grand talent comique.
La course poursuite sur la glace tout comme le comportement de Cypher finit par être fatiguant et la dernière scène qui fait inévitablement penser à « Blue Bloods » est un peu chiante mais bon.
Deux heures et quart plutôt passionnantes, qui donnent vraiment envie de voir la suite.