Fade and Curious
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Critique écrite initialement en janvier 2019 après ma découverte de ce film
Paul Walker, absent de cet opus, manque cruellement, car il possède un charisme (aidé par sa voix française Guillaume Lebon) ce qui n’est pas vraiment le cas de Lucas Black au sourire imparfait gênant.
C’est un espèce de « reboot ». Ainsi, le film démarre à Los Angeles, où un jeune lycéen à la suite d’une course de voiture qui dégénère se fait arrêter et sa mère lasse de ses déménagements, lui propose soit de le laisser pourrir en tôle, soit de l’envoyer à Tokyo chez son père.
Il choisira la deuxième option mais son père lui interdira de poser les mains sur un volant… pas de bol, au lycée il se fait un pote qui traîne dans le monde des « drifters ».
On retrouve une certaine profondeur psychologique et de la violence physique pour des personnages écorchés vifs du premier – aidés par des moments avec une musique planante ce qui raccorde avec Tokyo – des moments beaucoup plus légers du deuxième, moins convaincants.
A sa sortie en 2006, les critiques ont sans doute du l’appeler « Lost in furious », référence évidemment à « Lost in translation » de Sofia Coppola se déroulant aussi à Tokyo sorti trois ans avant. Évidemment, il y a beaucoup plus de budget que pour le film de Sofia Coppola, donc nous avons vu des vues aériennes sur la ville et les décors sont beaucoup plus nombreux, même si nous avons droits à des scènes prises sur des hauteurs d’immeubles impressionnants, comme dans le film de Sofia Coppola. Les innombrables bandes originales – dont certaines pas mauvaises – ne collent pas totalement avec la ville mais bon.
Mais il m’as surtout évidemment dans les scènes de poursuites, rappelé « Asphalt 8 » où il y a un circuit à Tokyo, les créateurs du jeu ont sans doute aussi palpés sur ce film puisque les décors sont très similaires.
Ce n’est qu’ à la dernière scène qu’on retrouve l’essence (sans jeu de mots) de « Fast and furious » avec l’apparition de Dom interprété par Vin Diesel (pour la dernière fois doublé par Guillaume Orsat).
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Créée
le 17 nov. 2024
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