Y a bon Fatima
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le 1 mars 2016
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Un film brute et naturel. Le spectateur est posé dans le décor neutre souvent dans les tons jaune pale. La simplicité nous guide a travers se film qui est libéré de toute superficialité pour nous montrer la situation actuelle de toutes ces femmes algériennes, marocaines…immigrés. Ce choix du réalisateur est compréhensible pourtant il manque de subtilité, le spectateur n’est qu’observateur, il ressent des sentiments de la compassion, de l’admiration, mais seul ces personnages transmettent cette impression. Parfois l’opposition entre les sœurs, ou entre une des sœurs et la mère est marquée par des parallélismes de plan qui malheureusement ne reste que des plans à peu près semblables sans nous montrer vraiment ce qui les oppose. L’intériorité de ces personnages n’est donc donnée que par leurs visages, les visites avec le papa ou chez le médecin. Sauf bien entendu lors de l’écriture de la mère. Ces paroles ont semblé trop furtives, la soif de découvrir plus de leur personnalité et pas seulement de la situation cristallise le film. Je reste sur ma faim.
Créée
le 10 avr. 2016
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