Alors je vais parler de Fight Club, quel est donc ce titre tout à fait fascinant, assez pour susciter des recherches sur son étymologie énigmatique ? Fight Club qui littéralement signifie " Club de combat " , combat de coq ? Malheureusement ça ne semble pas être le cas dans ce film, bien que si ça l'aurait été, ça semblerait plus stratégique que de voir des chauves bodybuildé se taper dessus.
Fight club, pourquoi un titre aussi équivoque me diriez-vous, alors moi même je n'en suis pas certaine, mais j'essaierais d'interposer mon interprétation personnelle en parallèle avec cette critique.
Alors certes Fight club, c'est un club de combat mais pas seulement, parce que le protagoniste principal à des problèmes mentaux assez troublant au début, ouais apparemment il est insomniaque. Il décris ça comme une pathologie sévère qui lui à même coûter sa porte d'entrée, à peine on commence le film, on l'entend monologuer sur sa VDM, décrire le moindre événement comme si il avait eut lieu un incendie.
C'est quand tu le vois assister à une thérapie en groupe que tu comprends que son problème c'est du sérieux et le problème rien qu'a ce moment là, c'est que le mec il parle comme pas deux, on dirais qu'il met en scène sa maladie pour se faire des amis au sein de la communauté des mangolito, à part s'il essaie de brasser l'air pour atténuer la chaleur.
Donc le protagoniste dont je vous parle, il à pas de nom, c'est le narrateur du film qui est interprété par Edward Norton, comme ton antivirus.
Puis rien qu'à peine 1/4 du film, tu l'aperçois avec la gothique là, tu te dis ça sent la bite, ouais parce que dans les films, ils arrivent jamais à contenir leurs libido, faut trop qu'ils fourre de la gueuses entre trois scènes de combats sinon ça fait pas très viril, alors qu'en vrai ça n'aurait très certainement jamais traverser l'esprit de quiconque de se taper une patiente aussi moche, on dirait une Lady Gaga brune sous stéroïde. Et puis là ta une scène totalement naze, ou Edward Norton enlace un gros sac avec des implant mammaire, même Lolo Ferrari en à pas d'aussi grosses ; Une scène qui sert à rien à part te refiler la gerbe, on peut dire qu'elle met direct dans l'ambiance malsaine du film, pas longtemps après ta une transition métaphore qui le narrateur rencontre un pingouin en antarctique, on sais pas trop d’où ça provient.
Et on s'en fout en fait. C'était juste histoire d'introduire les personnages complètement dispensables du film.
C'est en revenant de voyage d'affaire qu'il fait la connaissance de Tyler dans l'avion, un vendeur de savon, rien que ça c'est louche. Du coup le mec parle un peu de tout et n'importe quoi, ils entretiennent une conversation sur la consommation dans le quotidien des gens. Et en tant qu'anti-conformiste, le narrateur est très intéressé par les propos du vendeur de savon. Ensuite Tyler lui dit " Maintenant une question de protocole. Pour passer je vous présente mon cul ou bien ma queue ? " Une phrase qui remet grandement en question son hétérosexualité.
En rentrant chez lui le narrateur découvre que sa maison à exploser, c'est devenu des ruines de l'empire aztèque, pas une grande perte pour le bonhomme puisqu'il semble conserver que des condiments, faut croire que le contenu de son frigo en dit long sur sa personnalité.
Et après il appelle Tyler par le biais d'une cabine téléphonique, car les deux tourtereau ont eut la bonne initiative d'échanger leurs numéro de téléphones... Ah mais en fait cette critique deviens un putain de résumé, et moi j'ai la grosse flemme de décrire chaque scènes du film, donc je vais abrégé, si vous l'avez pas vu, tant-pis ça vous évitera une lésion cérébrale.
Après avoir rencontrer Tyler il lui propose de vivre chez lui. Petit à petit il découvre comment il tient son commerce de savon, un business assez dégueulasse (à l'image du film quoi) En se faufilant dans les hôpitaux en pleine nuit il s'empare de la graisse des grosses riches et en la faisant fondre, il l'utilise pour travailler et peaufiner son produit, mais le pire dans tout ça c'est qu'il les revends à ces même personnes. En gros ça nous donne un savon cannibale et son fameux concepteur Brad Pitt ou le gars qui surjoue tout ses rôles
Le séjour chez Tyler n'est pas de tout repos puisque il lui fait passer toute sorte d'épreuves inutiles comme le fait de souffrir pour progresser, mais de manière tout à fait radicale. Il va jusqu'à l'asperger d'acide sulfurique. Les deux copains parlent de liberté, divague complètement, et décident de former un club stupide en réponses de longues conversations, le Fight Club.
Le film, dans sa grande prétention à probablement voulu faire passer un message instructif à la nouvelle génération, en disant que se résoudre aux biens matériels signifie d'être libre, car en dépendant de ces choses on est réduit à l'esclavagisme, mais dans ce film, il est jamais explicitement dit ça, non c'est plutôt un enchaînement de scènes improbables et de pseudo-philosophie de comptoir ou placard si j'oserais dire, mais surtout d'exhibitionnismes d'abdos et de biceps. Surtout Brad Pitt qui joue Tyler, sans oublier son passe temps puéril de trafiquer des long métrages en intégrant des séquences pornographique, en quoi tout cela va rendre grâce à sa liberté spirituelle? Faudra m'expliquer..
Mais le plus gros problème dans ce film qui ne commençait pas trop mal, c'est bel et bien son club à la con ou plus exactement ses règles : 1 - Il est interdit de parler du Fight Club, 2 - Il est interdit de parler du Fight Club, 3 - Si quelqu'un dit stop ou s'évanouit, le combat s'arrête, 4 - Seulement deux personnes par combat, 5 - Un combat à la fois, 6 - Pas de chemise, pas de chaussure, 7 - Le combat dure aussi longtemps qu'il doit durer, 8 - Si c'est votre premier soir au Fight Club, vous devez vous battre.
Il précise bien 2 fois qu'il ne faut pas en parler, alors dites-moi, comment s'imaginent t-ils recrutés des membres s'il ne peuvent pas en parler ? Voici une première grande contradiction. Après tout c'est peut-être la triple personnalité de Tyler qui à écris ça ? Vu que ce type semble possédé par tout une flopée d'individu.
Donc le narrateur à totalement abandonné son rythme de vie pour concéder son existence à Tyler et son club. Bizarrement ils ont déjà pas mal de membres malgré que ce soit tenu secret. On sais d'ailleurs pas trop ou ils ont pu dégotés ces ramollis du bulbe, peut être dans un réseau de sdf, vu leurs tronches inexpressifs c'était surement des videurs. Les faux raccords sont tellement nombreux que ça n'aurait aucun mal à passer dans l'émission de Allociné.
Puis après comme dans tout les films chian , ta la pute de service qui contacte le narrateur pour X raison, (sens propre comme au figuré) et qui tombe sur Tyler qui en profite pour la sauter, pour deux gus qui ont voulu se l'a jouer moines c'est pas trop approprié, la meuf dit qu'elle à pas été baiser comme ça depuis la primaire. Cette salope revient régulièrement leurs rendre visite et fricoter avec Tyler, faut croire que son apparition sert seulement à confirmer qu'il existe bien, qu'il n'est pas issu de l'imagination du narrateur stupide.
À un moment du film, ta le narrateur qui est face à son patron et commence à pratiquer un kamehameha invisible, on comprend pas trop ce qui se passe mais en gros il se mime en train de se frapper, soit pour énerver son patron, soit pour impressionner, bref une scène totalement débile qu'on aurais préféré pas voir tellement ça frise la folie. D'ailleurs ce type aurait du être virer vu toutes ces absences cumulés depuis qu'il squatte chez son ami.
On sent que la fin du film se rapproche, les idiots ont décidé de mettre en place leurs plan ultime de destruction, en gros toute la bande de gorilles s'est préparer pour foutre la merde. En gros le mec veux se la jouer King Kong il à voulu reproduire l'événement du 11 Septembre de Wall-Street, il s'est amusé à détruire des immeubles. Après ça ta le narrateur et Tyler qui font une virer en voiture, il à un peu forcé sur le frein à main donc le choque était inévitable.
Le lendemain, le narrateur se réveil et n'arrive pas à trouver Tyler, ta tout les trou du cul de son club qui l'appelle chef, comme si c'était lui qui à commanditer l'opération. Ta la pute qui débarque de nul part en appelant le narrateur Tyler, comme si c'était son vrai nom et que le vendeur de savon n'avais jamais existé, en gros ils ont fait une virée en voiture, Tyler conduisait mais en fait il existe pas ? Ce n'est pas possible à moins de tomber sur Christine la voiture tueuse, soit ces débiles ont tous été sous psychotrope et ont générer une hallucination collective, soit c'est le mec du début qui s'invente une vie tout pourri parce qu'il à du mal à refouler son orientation sexuelle.
C'est précisément durant cette scène que tu te dit " Mais bordel je me suis fait enculé , ce film est bourré d'incohérences, mais en plus tout ce charabia sur la liberté spirituelle c'est des putain de conneries, parce que le contexte il ne sied pas du tout la pseudo-philosophie du film, la ça ressemble surtout à un culte satanique si tu veux mon avis, un culte dirigé par un prétentieux vendeur de savons. "
Mais pour votre plus grand plaisir, c'est pas encore fini, le film dure à peu près 2 h , raison de plus de le haïr de tout ses tripes.
Puisque la grognasse arrive maintenant à différencier le narrateur de Tyler, ou plutôt à fusionner les deux personnalité, car Tyler c'est aussi le narrateur qui est aussi Tyler. La meuf arrive comme une épine dans le pied et raconte des conneries sur leurs relations, et à ce moment précis ta envie de te tirer une balle dans la tempe parce que c'est comme si un gros passage du film à été coupé, comme si on te balançais du mauvais goût dans la gueule et une actrice trop moche qui n'a plus toutes ses dents à force de sucer le producteur.
Après ça ta le narrateur qui est persuadé que Tyler est une et même personne, il le cherche dans un immeuble et arrive à le percevoir à travers la caméra, Tyler est bel et bien présent, ils commencent à se battre pour confirmer leurs lutte physique, après je me souviens plus et ta le narrateur, infiniment stupide qui se tire une balle dans la tête pour tuer sa deuxième personnalité qui est donc TYLER, mais bien sûr, il ne meurt pas. C'est tout à fait logique, les lois de la physique ne devrait pas lui permettre.
Fight club ou l'incohérence cinématographique
Et à la fin on à le droit à une mise en scène vomitive qui fait prétendre une romance entre les deux personnages, les bâtiments explosent de façon synchronique pendant que les deux salopiaud contemplent la déstruction causé par ce même narrateur qui ne semble même pas conscient de ses faits.
Ce type aurait donc dénier son identité et cause du coma post traumatique causé par le viol d'un martien, soit ce film est juste bancale et totalement surjoué.
Du coup même Spirit L'étalon des plaines à un message plus pertinent à faire passer sur la liberté.
Conclusion : Fight Club soulève des questions intéressantes mais ne les met jamais en valeurs, faute à un contexte inadéquat , durant 2 h 19 on aura donc le droit à des feintes scénaristiques flagrantes agrémenté par des conversations stériles qui s'apparente plus à des monologues interminables, une mise en scène à vomir tellement ça part dans tout les sens, des messages subliminaux insistant et des incohérences multiples. Ça fait beaucoup de défaut pour un seul film.
Ah oui sans parler de Edward Norton totalement paumé de la life, on dirait qu'il s'est shooter la gueule avant le tournage et Brad Pitt qui cabotine à mort comme toujours, à force ta du mal à prendre qui que ce soit au sérieux.