le film de ma vie
J'ai vu ce film à l'âge de 16 ans j'en ai gardé un très bon souvenir et des sensations jamais oublié.Je l"ai retrouvé après 15 ans et je l'ai vu et revue pas moins de 20 fois en une semaine !! et je...
le 24 mai 2015
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William Nicholson restera dans l’histoire comme un scénariste (Nell, Gladiator), non comme un réalisateur, et ça se sent dans ce Firelight qu’il semble faire émerger d’un roman classique. Pourtant que nenni : c’est bien à lui qu’on doit le charme d’abord atone, puis pastel et de plus en plus flamboyant d’une histoire qui avance presque sans entraves. L’interprétation manque malheureusement de panache, la jeune starlette n’étant pas destinée à percer, et Marceau noyant toute trace d’intensité dans la prestance de son personnage de gouvernante. Mais ça ne sent pas trop grâce aux moments où ce film aux couleurs changeantes passe doucement d’un thème à un autre : la femme, la gouvernante, la mère, l’amante - Marceau joue finalement sur beaucoup de tableaux et ce n’était pas gagné d’avance de pouvoir garder le contrôle narratif sur tout. C'est une œuvre placide et stable qu’il serait encore trop péjoratif de considérer comme "familiale".
Créée
le 14 mars 2022
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le 24 mai 2015
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J'avoue que les mélos dans l'Angleterre du XIXème siècle, ce n'est pas forcément mon truc. Reste qu'on ne peut nier la grande beauté se dégageant immédiatement de ce « Firelight » superbement...
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le 22 avr. 2018
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Firelight est une belle histoire d'amour au ton austère, le film offre un beau rôle à la belle Sophie Marceau. Par moment le film à un aspect irréel qui sied bien à l'atmosphère de Firelight.
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le 9 nov. 2015
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(Pour un maximum d'éléments de contexte, voyez ma critique du premier tome.) Liu Cixin signe une ouverture qui a du mal à renouer avec son style, ce qui est le premier signe avant-coureur d'une...
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le 16 juil. 2018
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