Interminable deuil
Avant tout mitigé, perplexe et pas entièrement convaincu, me voici un peu embarrassé face à ce dernier projet de François Ozon, qui, osons le dire, n'est pas totalement clair et fait du sur-place...
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le 8 sept. 2016
52 j'aime
8
Dès les premières minutes, par le jeu très juste des acteurs ou par la rusticité de l'Allemagne du début du siècle dernier, le film parvient à créer une pesanteur.
Saluons le choix ambitieux d'Ozon de faire un film parfaitement bilingue.
Saluons encore cette narration à fleur de peau, mais jamais larmoyante, toujours digne.
Le film ne tombe jamais dans la facilité et malmène plutôt le spectateur, malgré une fin toutefois un peu convenue.
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Créée
le 3 janv. 2019
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