N'ayant rien lu dessus, j'ai d'abord cru au début à un prêche pro-vegan. Mais c'était sans compter la subtilité des métaphores invoquées pour tirer sur le mâle (toujours en quête de chair fraîche, ou toujours absent quand on a besoin de lui, au choix) et prêcher la sororité (enfin sauf pour les traîtresses qui perpétuent le patriarcat et qu'on se doit trucider aussi).
La conclusion que j'ai tiré du visionnage est sans appel : touche à mes fesses et je fais disparaître ta queue.
Une fois qu'on a posé ça, on a quand même un film qui a le mérite de distraire, et qui, il me semble, n'est pas nécessairement à prendre du côté du plaidoyer mais plutôt comme le miroir de son époque : outré, sans trop de nuance, vindicatif. Mais peut-être que j'étais dans un bon jour.