Alors que le monde soit plongé dans le chaos et la corruption, l’endroit le plus sûr est dans les étoiles. Le film commence par des images d’archives montrant Youri Gagarine, le premier homme à se rendre dans l’espace en 1961, accueilli par des acclamations et des applaudissements alors qu’il inaugure la cité d’appartements de la banlieue de Paris qui porte son nom, la Cité Gagarine, aujourd’hui démoli. Le film fait un bond en avant 50 ans plus tard, alors que la Cité Gagarine est sur le point d’être démolie. Youri (interprété par le nouveau venu Alséni Bathily), un astronaute en herbe, tente de sauver l’immeuble de l’effondrement en transformant l’HLM en vaisseau spatial. Il réorganise le câblage électrique de l’immeuble, cultive des plantes hydroponiques et fabrique des filtres à eau en s’inspirant de vidéos YouTube de cosmonautes vivant dans l’espace. Avec l’aide des anciens résidents, Diana (Lyna Khoudri) et Houssam (Jamil McCraven), Youri tente non seulement de sauver leur maison, mais aussi l’histoire et les souvenirs qui ont fait de cet immeuble un lieu plus solide que n’importe quelle fondation en béton. Alors que Youri risque sa vie et ses membres pour sauver sa maison et son vaisseau spatial, il franchit le point de non-retour.
Critique en intégralité : https://cestquoilecinema.fr/critique-gagarine-un-peu-plus-pres-des-etoiles/