Encore meilleur de les 2 précédents, Ghost tears continue sur la création de la section 9 avec l'embauche d'un membre incontournable: Togusa, le flic humain fidèle à son flingue périmé et bientôt père de famille (la scène finale est hilarante). En parallèle, la vie sentimentale du major Kusanagi relance la philosophie chère à la série: les limites de l'humanisation d'une machine, la recherche du soi et l'existence d'un réel amour entre être synthétique. L'intrigue politico-policière n'est pas oubliée ainsi que les spectaculaires scènes d'action (l'attaque de l'appartement). Du Ghost in the Shell pur jus dans un film complet et réussi.