Le film raconte mal sa mauvaise histoire et omet d’offrir le spectacle visuel qu’on espérait y trouver, au moins, entre deux scènes de dialogue poussives. Il est difficile de croire la moindre chose qui se passe à l’écran : la multitude d’effets numériques — souvent ratés — soulignent, plutôt que de cacher, que les acteurs se trouvent sur un plateau climatisé, couverts de boue parfumée.
Denzel Washington offre des respirations plaisantes à mesure que le film coule, comme si chaque plan le contenant provenait d’un meilleur film, à la manière des scènes du premier réemployées dans cette suite, qui souffre d’établir une telle comparaison.