Mais qu’on arrête avec ces clichés habituels qui font qu’on est tout de suite sur des rails en même pas cinq minutes. Début dans la famille où tout est parfait et où tout va bien, puis drame émotionnel sur-appuyé, puis enfin situation perturbé avec l’enfant « possédé »… Mais merde ! Pour qui s’intéresse un tout petit peu au cinéma, c’est des schéma qu’on a déjà vu des dizaines de fois et qui tuent toute possibilité de se faire surprendre (ce qui est con, parce que c’est un peu le principe du film à la base). Donc bref, « Godsend », un nouveau produit industriel et formaté… C’est navrant…