Dans Goldfinger la réalisation est au rendez-vous, et le charme de 007 transperce toujours l'écran au gré d'un jeu de séduction avec plusieurs belles "James Bond girl". C'est plutôt côté écriture que ça flanche.
Aussi retrouvons-nous James-Bond ici très vite capturé par le vil Goldfinger puis... emmené gentiment partout où l'action se déroule. Le bandit ne veut pas tuer l'agent, qui pourrait lui être utile, ce qui se révèle une bonne excuse pour ne finalement ne plus s'embêter coté écriture et donner à James Bond l'occasion de se balader et de suivre le terrible plan de son ennemi.
Par dessus tout, le rebondissement final par lequel 007 s'en sort malgré tout est des plus bateaux et a vraiment de quoi faire lever les yeux au ciel.