Fièvre froide
Osamu Dezaki, je ne le connaissais que par l’entremise de Ace wo Nerae, le film Clannad, et de réputation via La rose de Versailles, Rémi sans famille et Oniisama E – et son influence énorme sur ce...
Par
le 3 juin 2022
4 j'aime
Créée
le 11 mars 2013
Critique lue 833 fois
4 j'aime
1 commentaire
D'autres avis sur Golgo 13, the Professional
Osamu Dezaki, je ne le connaissais que par l’entremise de Ace wo Nerae, le film Clannad, et de réputation via La rose de Versailles, Rémi sans famille et Oniisama E – et son influence énorme sur ce...
Par
le 3 juin 2022
4 j'aime
Golgo 13 : The Professional, c'est des images somptueuses avec une touche pop art, une musique lancinante à la Cowboy Bebop, une histoire qui met à l’épreuve les capacités légendaires du tueur hors...
Par
le 19 sept. 2015
4 j'aime
Osamu Dezaki est un très grand nom de l’animaton japonaise. On lui doit notamment les films tirés de séries populaires telles que Astro Boy (1964), Rémi sans famille (1980), Black Jack (1996) ou...
Par
le 11 mars 2013
4 j'aime
1
Du même critique
Vondie Curtis-Hall, acteur de seconde zone à Hollywood et réalisateur d'épisodes de séries à ses heures, nous a livré en 1997 son premier long-métrage. Peut-être la seule œuvre réellement franche et...
Par
le 17 juin 2011
14 j'aime
2
Roberto Rossellini, figure-phare du néoréalisme italien, a mis sur pied une trilogie désormais culte sur la Seconde Guerre mondiale. Paisà en est le deuxième volet, entre Rome, ville ouverte (1945)...
Par
le 14 juil. 2013
13 j'aime
En France, Claire Denis est une des rares réalisatrices capables de faire des films qui soient subversifs à la fois sur le fond et sur la forme, ce qui n'est pas donné à tout le monde (voir à ce...
Par
le 20 nov. 2011
12 j'aime
5