Avec ce "Good Morning Babilonia" qui parle directement au cœur de tous les passionnés de Cinéma, puisque l'on assiste, émerveillés, aux tous débuts de l'usine à rêves, les Taviani réalisent leur film le plus accessible, mais pas le moins fulgurant. La beauté et la force de cette fresque, sa générosité naïve, ses partis pris d'un réalisme baroque, sont littéralement enthousiasmants, et Charles Dance campe un Griffith mémorable, exactement à l'image rêvée du génie fondateur de Hollywood. [Critique écrite en 1987]

EricDebarnot
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le 18 janv. 2017

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Eric BBYoda

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