L'ïle de l'ennui
Malgré de bonnes idées le film de Borowczyk ne passionne jamais et nous ennuie car traité sans aucune folie ni décalage nécessaire à ce type de cinéma ; Goto, l'île d'amour se bloque dans une...
Par
le 29 janv. 2016
3 j'aime
1
Allégorie et farce, poésie et grotesque, influences manifestes de Kafka, Beckett, des vieux films muets (de Chaplin entre autres), peu de mouvements de caméra mais des cadrages très travaillés et une grande attention aux détails, tout cela donne un film très étrange et très personnel malgré les influences.
Créée
le 8 août 2017
Critique lue 306 fois
2 j'aime
D'autres avis sur Goto, l'île d'amour
Malgré de bonnes idées le film de Borowczyk ne passionne jamais et nous ennuie car traité sans aucune folie ni décalage nécessaire à ce type de cinéma ; Goto, l'île d'amour se bloque dans une...
Par
le 29 janv. 2016
3 j'aime
1
Allégorie et farce, poésie et grotesque, influences manifestes de Kafka, Beckett, des vieux films muets (de Chaplin entre autres), peu de mouvements de caméra mais des cadrages très travaillés et une...
Par
le 8 août 2017
2 j'aime
C'est son premier long-métrage live (après M et Mme Kabal, long-métrage d'animation) et l'on retrouve et découvre déjà toute la petite musique Borowczykienne, mélange de bricolage, de surréalisme, de...
le 20 févr. 2019
1 j'aime
Du même critique
La prison est le sixième film réalisé par Bergman, alors quasiment inconnu, mais on peut considérer qu’il s’agit du premier « vrai » Bergman, puisque les cinq films précédents étaient des films de...
Par
le 25 mars 2020
10 j'aime
2
Distribué en France six ans après sa réalisation, le film a été affublé, par des distributeurs peu scrupuleux, d'un titre complètement absurde, destiné à surfer sur la vague déclenchée par le succès...
Par
le 14 juin 2017
10 j'aime
Finalement, c’est l’éternelle histoire de Roméo et Juliette. Ici, vraiment tout les sépare : leur mentalité, leur famille et, d’une manière qui s’avère radicale, l’exploitation capitaliste. Luigi...
Par
le 20 févr. 2020
8 j'aime