Au réveillon du jour de l’an, un commissionnaire vit quatre histoires étranges :
1) Des sorcières élaborent une concoction, mais il manque un ingrédient primordial : du sperme.
2) Un homme armé qui séquestre sa femme et il incrimine le garçon d’étage d’être son amant.
3) Un truand se décharge de ses deux enfants auprès de celui-ci. Graduellement, la situation dégénère et elle devient très problématique.
4) Norman doit parvenir à enclencher son briquet dix fois d’affilée. S’il fait florès, il obtiendra une automobile de collection ; s’il joue de malchance, on lui tranchera l’auriculaire.
1) J’ai adoré les incrustations bas de gamme d’étoiles et de cœurs ou sinon il n’y a pas grand-chose pour satisfaire un cinéphile car il est doté d’un scénario digne d’un téléfilm érotique.
2) Le quiproquo basique est des plus malicieux. On commence à entrevoir l’ambiance délicieusement azimutée transmise par le métrage, autrement que par de la lascivité.
3) Ce segment monte doucement en puissance pour atteindre une acmé dans l’intrigue. J’ai été franchement ébaubi par la qualité de la prestation des deux mistons.
4) Le nom le plus prestigieux n’est pas arrivé à réaliser le sketch le plus inoubliable. On ne reconnaît son style que par ses multiples références à d’autres œuvres. En l’occurrence, ici, à un épisode d’Alfred Hitchcock Presents dont résulte ce pari déjanté. Mais, ou sinon il tient assez correctement la route en matière de loufoqueries par rapport aux deux précédents.