Bordel, Tarantino a été un enfoiré cupide à l'époque du tournage (à cause entre autre de Weinstein et la fame qui lui montait à la tête*) mais putain qu'est ce qu'il est bon cet enculé, y'a rien à dire, il met tout le monde d'accord.
On se fait moyennement chier pendant les trois premiers segments même si y'a des bonnes idées par-ci par-là et puis le Quentin te sort la Quinte Flush Royale, hop, tranquillou.
Le pauvre Rodriguez qui passe juste avant, on voit encore une fois le gouffre de talent de mise en scène qui sépare les deux bonhommes. Encore que ce segment est peut-être la moins mauvaise chose qu'il ait pondue dans sa carrière, "Une nuit en Enfer" étant co-écrit avec QT, donc le mérite lui revient à moitié.
*Lu dans une partie, d'anecdotes autour de la sortie du film, tirée du bouquin "Sexe, mensonges et Hollywood" de Biskind.