Nul besoin de présenter le travail effectué par Guinea Pig. Cette fois-ci nous critiquerons « Mermaid In Manhole ». Ce métrage dépasse tout juste l'heure. Ici nous auront à faire à quelque chose de différents. Nous mettrons de côté le sadisme pour avoir un côté bien crade, répugnant et « burlesque ». L'histoire commence bien avec un bon samaritain et une jeune femme. Notre homme artiste va réaliser une peinture particulière. La jeune est touchée par une sorte de Scorbut bien riche en fluide et en transformation gangreneuse ressemblant à une putréfaction. Et là le film commence. Des pustules, des vers et toute forme mobile ou non coloré ou riche en dégouts apparaissent et notre homme va les utiliser pour en faire une peinture. Alors que la jeune femme souffre, l'homme l'incise et reproduit son portrait. La passion de l'un détruit la vie de l'autre.
Ici ce film est composé de nombreuses lenteurs mais nous retiendrons la transformation et de la déchéance de la jeune femme