Carpe Diem

Harvek Milos Krumpetzki naît en Pologne en 1922 d'un père bûcheron et d'une mère travaillant dans les mines. C'est un petit garçon différent qui a besoin de toucher le nez de toutes les personnes qu'il rencontre. Une nuit, sa maison est réduite en cendres et ses parents meurent gelés sur un vélo alors qu'ils tentaient de fuir.

Seul, désormais, il décide d'émigrer en Australie où il va faire sa vie sous le nom d'Harvie Krumpet. Il va avoir bien des soucis (frappé par la foudre par exemple) mais il sera toujours optimiste. Une statue d'Horace lui parlera et il aura une révélation. Il va prendre l'expression « Seize the day » (Carpe Diem) au pied de la lettre et sa vie en sera changée.

Un film touchant et drôle. La vie de cet homme est vraiment terrible, tourmentée et triste mais il s'en sort toujours, plus ou moins bien. Il fera des rencontres et apprendra des petites choses parfois inutiles (des fakts), qu'il notera méthodiquement sur son petit carnet qu'il a toujours autour du cou, mais toujours assez drôles comme « les grenouilles peuvent être décongelées, pas les humains » ou encore « le problème avec le fait de danser nu, c'est que tout n'arrête pas de bouger quand la musique s'arrête. »