Boîte vide
Imaginons un homme en fuite alors qu'il il y a de la neige. Dans la neige ses pas se tracent et il est facile de le suivre. Que fait cet homme ? Il prend une branche pour effacer ses traces, pardi ...
Par
le 16 févr. 2016
4 j'aime
Le site est en ligne, vous pouvez désormais revenir à vos activités habituelles. On vous remercie pour votre patience et votre soutien ! (Il est encore possible que le site rencontre quelques problèmes de performance)
Résumé : Kirsty a disparu, supposée avoir perdu la vie dans un accident avec son mari. La réalité de son mari a changé depuis l'accident, il confond réel et cauchemar. La police est à la recherche d'informations, mais le mari est incapable de se souvenir. Kirsty, héritière de sa famille, laisse une fortune faisant un mobile parfait, mais le mari a complètement oublié. Il paraît évoluer dans un monde où son passé s'évanouit et le rend de plus en plus coupable.
Histoire : La production réduit le budget, et certains acteurs sont rémunérés à la ligne de dialogue, tout comme les figurants. Doug Bradley souhaite des dialogues plus longs et les concrétise lui-même pour seulement 5 minutes de présence. Ashley Laurence admet avoir perçu un cachet ridicule, et dans l'éventualité où Ashley Laurence refuse le rôle, Sarah-Jane Redmon sera embauchée, mais le réalisateur la prend pour un autre rôle en raison de sa performance. Le réalisateur se rend au théâtre et sera bouleversé par la performance de Trevor White, qu'il engage pour jouer le rôle du traître. Clive Barker mentionnera au réalisateur qu'il aurait dû faire plus grotesque, car après le cinquième épisode, on pensait que la série était terminée. Petit cours d'anglais, Hellraiser est un dompteur de l'enfer, tandis que Hellseeker est un chercheur de l'enfer, ce qui lui donne le titre français, le maître et l'élève de l'enfer.
Équipe : Exit Clive Barker et une réalisation de Rick Bota. Le scénario c'est Carl Dupre qui écrira l'épisode 8 et Tim Day qui écrira le 7. Les effets de Jamison Scott Goei qui reçoit le prix, au palmarès incroyable. La production de Mike Leahy et Ron Schmidt. Côté casting, Dean Winters, acteur de séries, le retour d'Ashley Laurence qui revient après 17 ans pour une participation, Doug Bradley, nominé pour l'award, et William S Taylor dans le rôle du Lieutenant. Lorsque l'univers de la série s'embarque dans la série B d'Hellraiser.
Avis : À mon avis, cet épisode est le meilleur de la série depuis l'original, car l'épisode 4 est violent tandis que l'épisode 5 atteint un niveau supérieur de violence, mais le 6 apporte une histoire captivante qui se transforme en un thriller noir. Là où tout commence par une phrase de la divine comédie L'enfer de Dante Alighieri : « Il n'est pire douleur que le souvenir du bonheur au temps de l'infortune ».
Critique : Le logo Dimension démarre le générique fidèle à l'esprit de la série en plus moderne, avec l'arrivée de Kirsty 17 ans plus tard, pour amorcer une transition qui lance l'ambiance spéciale de l'intrigue, dans la scène spectaculaire de l'étang. Les transitions radicales, tout comme le premier, créent une atmosphère surnaturelle, avec l'opération terrifiante du cerveau qui détournera les âmes sensibles. Le rythme dynamique à l'hôpital respecte les éléments essentiels de la série, avec des acteurs crédibles aux bons dialogues et des scènes à plusieurs. L'arrivée de l'inspecteur incroyable lance le récit agréable avec des images superbes et une réalisation intéressante.
En raison de son amnésie, le personnage rend l'enquête plus compliquée, en provoquant des flashbacks qu'il ne maîtrise plus et amplifiés par des éléments étranges. Les événements restent limpides en intensifiant la violence pour la scène délirante du malaise aux effets surprenants. L'envoûtant dosage des rebondissements crée un contraste saisissant qui permet l'émergence de la fameuse boîte. Les phénomènes amplifient la réalité avec une présentation plus nette lors de l'achat de la boîte qui montre le dompteur. L'histoire se répète avec des excès de violences lorsque le personnage est victime de son passé de séducteur, avec quelques scènes torrides. Le délire tourne autour de quelques personnages, dans un style de bon thriller, qui révèle plus d'indices.
Le personnage doit affronter ce qui l'a poussé au fond de l'étang en établissant un lien au début, pour s'échapper de la boucle infernale. C'est le moment propice pour affronter ses démons, car le piège referme la violente conclusion sur la magnifique réplique du lieutenant. Le dompteur et les démons sont prêts à terminer de manière géniale la mésaventure, dans un film qui maintient le concept de l'original avec l'esprit d'une série B, même si les démons ne sont pas assez présents. L'hommage au premier demeure le point central du récit, même si aucune scène violente n'est présente, car c'est le charme si particulier de cet épisode, «bienvenue dans le pire des cauchemars, la réalité».
> https://youtu.be/8QqbFz2cKHA
Ma 1ère critique du film écrite en 2007 > Cet épisode est à mon avis, le meilleur de la série, car plus "réaliste". Il faut saluer le retour de Kirsty. L'intrigue du film évoque l'épisode 5, mais le scénario est le point fort du film alternant des scènes riches et des scènes violentes. Le côté policier est plaisant, car même si le film traîne, on retrouve plus de détails sur la série comme la fameuse boîte. Les scènes où Trevor hallucine sont superbes surtout au niveau des effets spéciaux. Un final inattendu et un Pinhead présent. Certaines scènes sont quand même violentes dès le début. En clair un film d'horreur sans conteste avec une histoire prenante, on apprécie la performance des comédiens, en particulier l'inspecteur. Ce film est un incontournable pour les fans de la série.
> https://youtu.be/zhXZBZt4xh4
Ma 2ème critique du film écrite en 2017 > Réalisé par Bota en numérique sphérique avec un budget minuscule, dédié vidéo et 1 prix effets, «Il n'est pire douleur que le souvenir du bonheur au temps de l'infortune», Dante (l'enfer). Chercheur de l'enfer commence par le retour d'un personnage du 1er qui donne une atmosphère surprenante dans la spectaculaire scène de l'étang, lancant l’enquête avec l'arrivée de l'excellent inspecteur. Les événements étranges remplis d'effets incroyables reviennent aux bases malsaines de la série jusqu'à la réapparition du cube. L'investigation composée comme un thriller, avance ses indices pour «faire face aux démons» dans un piège inexorable qui permet au dompteur de conclure brillamment l'affaire, lors d'un dénouement violent, pour cette œuvre qui rend un bel hommage au 1er avec un montage agréable, malgré l'absence de budget et de violence.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Les meilleurs films d'enquête, Les meilleurs films sur un assassinat, Les meilleurs films de possession démoniaque, Les meilleurs films sanglants et Les meilleurs films sur le satanisme
Créée
le 21 janv. 2023
Critique lue 80 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Hellraiser : Hellseeker
Imaginons un homme en fuite alors qu'il il y a de la neige. Dans la neige ses pas se tracent et il est facile de le suivre. Que fait cet homme ? Il prend une branche pour effacer ses traces, pardi ...
Par
le 16 févr. 2016
4 j'aime
Un couple a un accident de la route et la femme disparaît mystérieusement. On continue avec la franchise Hellraiser pour cette fois-ci un volet d’assez bonne qualité aux allures de thriller...
Par
le 17 avr. 2023
3 j'aime
Hellseeker parvient tant bien que mal à garder la tête hors de l'eau pour ce qui concerne la marque de fabrique de la série, à savoir les cauchemards infernaux à tiroirs. Il est de plus entouré d'un...
Par
le 30 déc. 2010
3 j'aime
Du même critique
Résumé : Condamné à subir des tortures éternelles, le grand-prêtre enseveli vivant dans l'ancienne nécropole a tué le pharaon pour l'amour d'Anck su namum. En 1933, Évelyne une bibliothécaire cherche...
Par
le 9 mars 2023
6 j'aime
2
Résumé : Un jeune homme fait face à un chasseur de primes qui a pour mission de récupérer sa peau. Le jeune homme choisit de partager son histoire, car tout débute avec une jeune fille torturée par...
Par
le 21 janv. 2023
5 j'aime
7
D'après sa pièce, réécrit et réalisé par Zeller en 6k anamorphique avec un budget minuscule, c'est un succès et 2 Oscars. Le père commence par les personnages qui remettent les choses à leur place...
Par
le 6 déc. 2024
4 j'aime