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De temps à autre, je retente une incursion du côté du cinéma d’horreur, dans lequel je loupe sûrement pas mal de choses depuis des années ; et force est de constater que de cette pléthorique...
le 20 oct. 2018
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Il est des films qui nous amènent, de façon prévisible, à leur dénouement. Et ce surtout pour les films d'horreur.
Devant Hérédité, on se demande pendant 1h30 ou on va. Il y a, dans les 20/30 première minutes, tous le codes du film de genre : du jumpscare au gore. Puis, pendant environ 1h, ces codes disparaissent et laissent place à un divertissement original et dont on se demande vraiment ou il nous amène.
Cette heure, qui arrive après l'élément déclencheur, et qui ferait s'évanouir James Wan, et durant laquelle l'absence de règle du genre horrifique peut paraître un peu longue, nous fait espérer un final grandiose et mémorable.
Et il l'est. (là James Wan se réveille en sursaut). Je ne me souviens d'aucune scène, d'aucun film, qui m'ait laissé aussi mal à l'aise après le lancement de son générique de fin.
J'étais un peu sceptique sur ce film quant à ses critiques élogieuses (très souvent mauvais signe), mais je ne regrette pas de m'en être fait ma propre idée.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 11 sept. 2018
Critique lue 242 fois
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