Holy Mother! de Yoshihiro Nishimura, réalisateur responsable des excès en tous genres du fameux Tokyo Gore Police. Dans ce film, une héroïne transgenre aux pouvoirs surnaturels vient défendre des yakuzas métisses contre l’oppression d’une milice japonaise raciste. Les excès de la photographie ultra colorée ne sont nullement retenus par le manque de budget. Toute l’essence du cinéaste Nishimura s’y retrouve, comme dans ses autres films, et l’influence des productions Sushi Typhoon se fait bien sentir. Mention spéciale à la séquence où l’héroïne tranche les quatre membres d’une mauvaise et se sert des jets de sang du corps ainsi mutilé pour se propulser dans les airs, surfant donc sur un véritable « hoverboard » humain ! La salle entière fut hilare !
(Ceci est un extrait du compte-rendu du Festival Cinéma Interdit 2024, édition bruxelloise. Pour le compte-rendu en entier, cliquez ici : )
http://www.mefamo.be/MFMarts/compte-rendu-du-festival-cinema-interdit-2024-edition-bruxelloise/