Le cinéma de Papa Georges.
Oh, encore du " J'ai raté mon film alors je vais y mettre de la 3D " ?
Oh, encore du " J'ai raté mon film (Même avec de la 3D) alors je vais y mettre des gags lourds et trop burlesques ? "
Oh, encore du " Alors c'est un gosse il trouve un truc mystérieux de son papa mystérieux alors il devient le héros ? "
Oh, encore du " Les enfants ils jouent que dans des films pour enfants " ?
Oh, encore un film de Noël ?
Oh, encore un film de Scorcese ? Oui, mais mettre du caca dans une crêpe n'en fait pas du chocolat !
C'est ce que je me suis dit. Du moins dans la première partie.
Puis j'ai vu les cendres d'un carnet personnel, j'ai vu des enfants qui découvrent une bibliothèque d'un Christopher Lee passionné, j'ai vu en fond subtil une satire avec une Frances de la Tour (la Alice Saprich américaine si vous voulez) excellente, j'ai vu la relation entre l'homme et la machine, j'ai vu les rêves d'un génie brûlés par la guerre, j'ai vu l'existence du savoir et de la recherche pour un art tout juste né, j'ai vu, j'ai ri, j'ai pleuré ; j'ai vu Georges Méliès.