Je m'attendais a un bon film, je suis tombe sur un chef-d'oeuvre.
Pour Sorrentino, chaque plan est un tableau, un tableau qu'il viens dechirer a l'aide de dialogues. Des dialogues noirs, secs et parfois tres durs. Et pour vivre ce dialogue, Toni Servillo ne joues pas Andreotti, il deviens Andreotti. Un personnage myserieux que tant de texte et d'image ne parviens pas a dechiffrer.
N'ayant aucune conaissance de la vie politique italienne entre 50 et 80, je n'ai pas la capacite de comprendre toutes les finesses et les references que fais ce film. D'une certaine facon, hereusement, car je n'aurais de toute facon pas pu donner plus de 10 etoiles.
A voir? Si l'enfer consiste en une projection infinie de slumdog millionaire, le paradis; c'est Il Divo de Paolo Sorrentino.
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