Le film s'enlise petite à petit (mais sûrement) dans les méandres de la comédie bas de gamme
En toute sincérité, on se demande réellement quel peut être l'intérêt d'un film tel que Il était une fois, une fois (2012). Un an jour pour jour (à 2 semaines près) après Rien à déclarer (2011), comédie de Dany Boon sur la mésentente franco/belge, cette fois-ci, c'est au tour de Christian Merret-Palmair de s'intéresser de près à des belges, bien décidés à prendre leur revanche sur des français un peu trop moqueurs. Le scénario ne vole pas haut et hélas pour nous, on comprend très vite notre douleur à peine le premier quart d'heure entamé. Sur une idée de Dominique Farrugia (ce qui est loin d'être un gage de bon augure), le film s'enlise petite à petit (mais sûrement) dans les méandres de la comédie bas de gamme, aux blagues qui ne font jamais rire (et encore, on espère vraiment qu'elles donneront le sourire aux belges), ajoutez à cela des acteurs vraiment médiocres, pour ne pas dire agaçants voir exaspérants (François-Xavier Demaison, Anne Marivin, Charlie Dupont & Jean-Luc Couchard), bref c'est d'un ennui assommant.
http://qr.net/ivn