L’art n’est pas un prospectus publicitaire. Le pire qu'on puisse craindre, c'est encore que son message soit mal interprété.
Raconter une histoire, ce n’est pas faire de la politique. Exemple parfait donc en quatre minutes de ce qu’il ne faut pas faire en matière d’art (en matière publicitaire, c’est parfait). In a Heartbeat, c’est encore l’illustration de ce qu’est la pollution dans « l’art » du politiquement correct,
L’art n’est pas un prospectus publicitaire. Il se montrera peut-être efficace en terme de propagande pour prêcher des convaincus, se donner bonne conscience une fois que la guerre sera finie ou sur le point de l’être, comme d’autres changent de camp à la fin des guerres pour être toujours du côté des vainqueurs. Parce qu’on ne défend pas (réellement) une cause (qu’elle nous soit personnelle ou qu’on croit juste, peu importe) en prenant l’art comme moyen de lutte idéologique.
Certains films de propagande sont amusants à voir cinquante ans après, on rira peut-être de celui-là, un jour.
Commentaire complet à lire sur La Saveur des goûts amers
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