Mais Waltz, bordel. Waltz.
6/10, parce que j'hésitais entre 9 et 3: il y a des aspects que j'ai trouvé géniaux (notamment la conservation de la diversité des langues, ou le jeu de Christopher Waltz tout en glaçante amabilité) d'autres que j'ai détesté (violence partout, tout le temps, sensation de fouillis, rocambolesquitude lourde).
Tarantino semble n'en faire qu'à sa tête, et après tout c'est son droit le plus strict. Tant qu'il continue d'amasser des millions, il peut se le permettre.
Etrange néanmoins, cette polarisation qu'il provoque: soit on l'adore inconditionnellement, soit on le hait. Le personnage est si entier que la demie-mesure n'est pas vraiment de mise. Sauf que je suis têtue.