Les deux longues scènes terriblement brillantes que sont la toute première et celle de la taverne, ne suffiront peut-être pas à combler suffisamment l'irrégularité d'une oeuvre que son metteur en scène à probablement trop surestimé.
Alors que tout ce qui tourne autour de Chistoph Waltz, des Basterds et de l'opération Kino étaient parfaitement imbriqués dan le délire Tarantinesque, la pseudo "amourette" entre Mélanie Laurent et Daniel Brühl m'a semblé faire fausse note au sein de cette farce aux allures de burlesque, notamment sur la fin du film ou on les avait presque oublié, sans parler de cette séquence "femme fatale" autour de la jeune actrice, un brin ridicule à mon sens.
Il y avait suffisamment de quoi jubiler Quentin, ce n'était pas forcément nécessaire d'en rajouter.