Pour commencer, on va y aller un peu crument, mais considérant le titre du film critiqué, ça ne devrait pas poser trop de problème. Jamais Entre Amis, dans son titre original Sleeping With Other People (que l'on réduira à SWOP) met en scène un homme très hétérosexuel, Jake, et une fille pareille, Lainey, tous deux forts présentables et attirés l'un par l'autre MAIS décidant malgré cela de rester amis pour éviter de ruiner leur relation à coups de bite, car telle semble avoir été l'histoire de leurs vies jusqu'ici. Bien. Une comédie américaine traitant de l'amitié entre garçons et filles sur la forme interrogative, en ajoutant au mix l'ingrédient sexe, électron libre s'il en est ? On pensera peut-être aux récents Friends with Benefits (Sexe entre amis) et No Strings Attached (Sex Friends, appréciez l'inspiration des distributeurs dans leur choix de titres « français »), en se disant que la confusion des relations homme/femme à notre époque confusionnée est à la mode. Et il faut avouer que c'est un sujet fort intéressant – qui peut donner des bons films, contrairement aux deux précités. Hélas, on y pensera aussi pour une deuxième raison : que ce soit entre Timberlake et Kunis, Portman et Kutcher, ou Sudeikis et Brie, pas la moindre scène torride ne viendra appuyer leur prétendue « modernité », rappelant leur hollywoodianité congénitale. Oui, parce que sur un tel sujet, le cinéma français aurait désapé ses deux protagonistes le tiers du temps, au bas mot. « Benefits », « strings », « sex », « sex », « sleeping » & stuff, tout ça, c'est bien, mais in fine, pas grand-chose à se mettre sous la mirette. On notera avec amusement que le Love & Other Drugs d'Edward Zwick, contrexemple parfait en ce que ses deux personnages principaux sont désapés le tiers du temps, comporte « love » dans son titre… Bref : pervers pépère, si tu ne comptes voir SWOP que pour te rincer l'œil, et à moins que la simple vue d'un soutien-gorge ou d'un rouge à lèvres ne te mette dans tous tes états, auquel cas tu es soit un préadolescent, soit un tueur en série... passe ton chemin : le film de Leslye Headland parle beaucoup de sexe, souvent crument, mais la ramène clairement moins lorsqu'il s'agit de le montrer – chasteté d'autant plus absurde que son interdiction aux mineurs non accompagnés lui autorisait bien des choses sur ce plan. Ce qui n'empêchera pas pour autant cette rom-com singulière, située entre une prod' Apatow pour le côté potache et du Woody Allen pour le bavardage lubrique, d'inspirer, durant sa petite heure et demi, une très grande sympathie (et plus si affinités), fort de la présence de l'excellent Jason Sudeikis, transfuge tonitruant du Saturday Night Live (SNL) proposant cette fois-ci au public français quelque chose d'autrement moins oubliable que Les Millers.

Alison Brie (donc)

Mais commençons par la motivation première de notre entrée dans la salle obscure, un jeudi soir de septembre, pourtant en déjà galante compagnie : Alison Brie. Motivation première car l'auteur de ces lignes suit avec ardeur la carrière de l'actrice depuis sept ans, ayant d'abord remarqué son minois frondeur dans Mad Men, puis en étant tombé raide dingue dès la première saison de la cultissime sitcom Community (tellement que le terme « sitcom » parait bien réducteur, mais bon). Partageant sans aucun doute son ardeur, le créateur de Community, Dan Harmon, y aura exploité le mélange de charme juvénile et de sex-appeal débordant de l'actrice à de prodigieuses fins comique, usant des plus beaux ralentis sur son décolleté dans des scènes d'action improbables (car il y a des scènes d'action !), et posant très tôt le ton avec la réplique de Chevy Chase, devenue depuis une rengaine adorée des fans du show : « Annie's pretty young, we try not to sexualize her »... Au risque de rebuter le lecteur, oui, la présente critique parlera pas mal de l'actrice ; si ça vous saoule, comme dirait VGE, « au revoir ».

Alison Brie, donc, le cartoon le plus sexy de la planète. On insistera sur cette description pourtant sommaire parce que Dan Harmon l'a implicitement imposée en faisant ressortir les désopilants « Disney eyes » de la belle (le voir pour le croire), mais aussi parce que Brie est, à l'heure américaine, le plus explosif rappel qu'une fille peut être aussi hilarante qu'un garçon sans pour autant ressembler à une camionneuse hystérique ou une féministe desséchée. Pas qu'elle soit la seule… mais la scène est tout de même largement occupée par celles qui ne ressemblent à rien, d'Amy Poelher à Melissa McCarthy, en passant par Lena Dunham, Amy Schumer, Mindy Kaling, Whoopie Goldberg, Kristen Schaal, Ellen deGeneres ou cette touchante Sarah Silverman qui voit des croix gammées partout. « Les femmes ne sont pas drôles », a-t-on tendance à penser, sans forcément l'exprimer. Certaines en sont d'ailleurs tellement convaincues qu'elles se sentent obligées de singer la paillardise masculine, cf. bon nombre des susmentionnées. On parlait de Sex Friends et de Sexe entre Amis, plus haut : Mila Kunis n'y brille pas par son jeu (comme nulle part d'ailleurs), et Natalie Portman est de toute façon bien plus à l'aise dans les drames avec des cygnes… deux très jolies femmes certes, mais pâlissant sérieusement, dans l'univers de la comédie, à côté d'une Alison Brie. Et tout cela rend d'autant plus précieux les cartoons sexy dans son genre.

Alison Brie. Alison Brie. Alison Brie. Alison Brie. Alison Brie. Alison Brie. Alison Brie. Alison Brie. Alison Brie. Alison Brie. Alison Brie. Alison Brie. Alison Brie. Alison Brie. Eeeeeet on s’arrête là, c'est bon, ça suffit. La présente critique aurait pu ressembler à deux pages de ça, révélant alors la vraie nature de l'auteur de ces lignes, dangereux énergumène à mi-chemin entre le Jack Torrance de The Shining et un stalker japonais. Mais non, ce dernier saura bien se tenir. Nous ne sommes pas des bêtes, dira-t-on. Ce à quoi certains petits malins pourraient ajouter, pour reprendre les mots du grand bad guy de Cliffhanger Eric Qualen : « …sauf si l'on nous force à le devenir » ! Et d'aucuns pourraient arguer qu'avec ses airs de cartoon le plus sexy de la planète, Alison Brie rétrograde l'homo sapiens à son statut d'homo erectus. Tout ceci est vrai. En perdant des récentes rondeurs que l'on pouvait remarquer dans, par exemple, 5 Ans de Réflexion, l'actrice a ressuscité l'Alison Brie des débuts de Community : autrement dit, la parfaite. Le printemps jaillit dans ses yeux de biche, et le reste suit. Mais point besoin de ces considérations bassement hormonales pour nous répandre en éloges à son égard, pour la simple raison qu'elle est bien plus qu'un « eye candy » : À l'occasion de SWOP, la belle se transforme, sous nos yeux, en authentique joyau de la romcom américaine dans ce qu'il a de plus classique et enchanteur à la fois.

Puisque la réalisatrice de SWOP a défini son film comme un « Harry rencontre Sally* pour enfoirés » (« When Harry Met Sally for assholes »), et que l'on adhère à ce calembour un peu réducteur ou non, on est en droit de chercher en Alison Brie la nouvelle Meg Ryan. Réponse évidente, donc : plutôt deux fois qu'une, mon capitaine, puisqu'elle est adorable dans le comique burlesque, adorable dans le drama lacrymal, adorable jusque dans le graveleux le plus gras, en somme, adorable en tout. Une Meg Ryan bien plus sexuée et polissonne, justement, et de préférence celle des bons jours (1987-1993, RIP), mais une Meg Ryan quand même, dans le sens où SWOP devrait faire d'elle la nouvelle « America's sweetheart », après une série de ratages commerciaux dont elle n'était généralement, de toute façon, pas la star (le raté Save The Date, l'introuvable Montana Amazon, l'indé mineur Kings of Summer où elle apparait cinq minutes, l'amusant mais confidentiel Search Party, et la bouffonnerie ferrellienne Get Hard). On regrette un peu qu'elle n'ait pas percé il y a dix ans : contrairement à Meg Ryan au moment de L'Aventure Intérieure, Brie a déjà atteint la trentaine. Mais dans un sens, ça a laissé à son jeu le temps de mûrir, et cela devrait rendre la révélation d'autant plus éclatante pour ceux qui ne la connaissaient ni d'Ève, ni d'Adam.

Petits joueurs (hélas !)

Problème, la tornade multitâche Brie n'est pas tout à fait qu'un atout, dans SWOP. Elle incarne aussi une faiblesse du film, évoquée plus haut : son impudeur déplacée. Pourquoi donc ? Parce que l'actrice est spécialisée dans ce qu'on appelle chez nous, les Américains des États-Unis d'Amérique, le « teasing », parlant de cul la moitié du temps sur les plateaux de télé (son anecdote sur ses séances de jogging à poil à Cal Arts, sur sa séance de massage intégral, ou encore sur ses fans fétichistes…), mais n'ayant jamais rien ôté de substantiel à l'écran. Soyons clair, cette critique n'est pas motivée par une simple déception de pervers pépère : nous ne lui avons pas reproché de rester habillée dans Community, ni dans Save the Date (alors que ça aurait pu sauver le film…). Mais dans Sleeping With Other People, il s'agit de… sleeper avec d'autres people. Or, le problème est qu'elle le fait rarement (tout comme le personnage joué par Jason Sudeikis, ceci dit), et que quand ça arrive, c'est en soutien-gorge. QUI baise en soutien-gorge, à moins de faire ça dans la file d'attente d'un supermarché et de ne pas vouloir attirer trop les regards ? Il aurait mieux valu zapper de pareilles scènes, ou n'en montrer que les préliminaires. À en croire le pitch, le personnage de Lainey est une sorte d'obsédée sexuelle : on ne sentira cela à aucun moment. Pour ressusciter cinq secondes la rubrique Le Petit Cochon de Première, qui donnait des couleurs au magazine dans les glorieuses années 90, on notera cependant que la séquence de la cabine d'essayage propose une Alison Brie en string. C'est un progrès, même si ce n'est toujours pas ça. Fort heureusement, quelque chose distingue SWOP de Sex Friends et Sexe Entre Amis : si ces deux derniers mettaient en scène des amis décidant de coucher sans laisser les sentiments foutre tout en l'air, le film de Headland fait… l'exact opposé. Aussi lui pardonne-t-on davantage sa pudeur qu'aux deux autres, censés être chauds bouillants, alors qu'au final, non.

On a établi que les deux acteurs valent autant que le couple Meg Ryan/Billy Crystal, et on assume pleinement cette opinion. Maintenant, le film en lui-même vaut-il autant que cet incontournable du genre ? Réponse là aussi claire et nette : hélas, non. Que les amateurs n'ayant pas encore vu le film se rassurent : rien de bien grave. Mais dans son ensemble, SWOP ne se montrera simplement pas au niveau. Et l'on n'aurait jamais dû en demander tant de la part de Leslye Headland, qui, jusque-là, ne s'était illustrée qu'avec le très mauvais Bachelorette, vaine et hystérique tentative de faire aussi bien que Bridesmaids. Dans une moindre mesure peut-être, mais comme Bachelorette, SWOP en fera assez souvent trop, et se croira trop souvent plus malin qu'il ne l'est vraiment. Première conséquence, dans ce genre de cas : multiplier les occasions de ne pas être drôle. Après une ouverture très enthousiasmante mettant en scène la première fois entre Jake and Lainey, on a très vite un aperçu du SWOP pas drôle avec la scène d'Adam Brody en boyfriend incapable de laisser Lainey en placer une alors qu'elle veut le quitter, scène bien trop longue et répétitive pour ce qu'elle raconte, ou encore avec Xander, meilleur ami du héros, cliché ambulant du type sérieux qui subit stoïquement les excentricités de son pote, et personnage quasiment dénué de la moindre réplique mémorable joué par un Jason Mantzoukas tout aussi oubliable. Ce dernier foirage se rappellera même à notre triste souvenir lors d'une interminable scène inter-générique qui le mettra en scène avec le personnage aussi peu étoffé de son épouse. En somme : contrairement à Harry & Sally, SWOP ne sera pas sans blagues tombant à l'eau et scènes méritant tout au plus un sourire amusé. Comme annoncé, son irrévérence ira parfois trop loin et pour pas grand-chose, comme dans cette séquence de thérapie de groupe où un membre entre dans les détails de sa vie sexuelle d'une manière plus scato qu'amusante. La réalisatrice-scénariste n'est simplement pas aussi drôle qu'elle le souhaiterait.

Une question d’angle (sans doute)

Mais l'histoire du cinéma nous a montré que deux comédiens de talent peuvent transformer un matériau récupérable en quelque chose de tout à fait présentable, tant que le film a du cœur… or, le duo Sudeikis/Brie fait partie d'un des plus épatants que la comédie US nous ait récemment offerts. On sent bien que leur présence, autrement plus stimulante que celle de Rebel Wilson ou Isla Fischer dans Bachelorette, a inspiré la réalisatrice, et a permis l'éclosion de quelques passages très mémorables, à commencer par cette scène hilarante où Lainey, chaude lapine mais aussi grande fan de gamins (l'un n'empêche pas l'autre), profite de l'anniversaire du jeune fils de Xander pour se livrer à une danse des plus… estivales face à une assemblée prépubère en délire, sur le génial Modern Love de David Bowie. Cette scène, réjouissante sur absolument tous les plans, visuel parce qu'Alison Brie, comique parce que ça fonctionne, dramatique parce que ça fait évoluer les sentiments de Jake à son égard, et naturellement musical, donne une idée de ce qu'aurait été SWOP s'il avait assuré ce niveau dans toute sa longueur : un incontournable absolu du genre. N'est-ce pas déjà pas mal, pour un film, que d'être capable d'offrir ce genre d'aperçu ?

Par ailleurs, tout bavard qu'il est, le film de Headland ne s'intéressera jamais vraiment qu'au nœud de la romance entre Jake et Lainey, entre le gars incapable de rester fidèle car incapable de se contenter de ce qu'il a, et la fille qui n'arrive pas à se remettre de son premier amour, fût-il un blaireau total. Obsédée, oui, mais pas vraiment sexuelle. Derrière ses dehors olé olé, SWOP est donc une rom-com pépère, elle aussi. Mais ça ne fait rien : en plus de son duo, c'est pour les sentiments qu'il faut voir SWOP. Après tout, il faut garder en tête l'énormité du postulat de base, qui nous présente un tombeur célibataire trouvant une Alison Brie disponible, et décidant de « rester ami » là où n'importe quel mâle hétérosexuel normalement constitué du monde réel tenterait au bout de cinq secondes, et par tous les moyens légaux, de la sauter du matin au soir. Pour croire à la possibilité d'un tel grand homme, il faut être sacrément romantique. Et si c'est le cas, si l'on a cette chance, alors, ça marchera plutôt bien. Alors, on se laissera sans mal engloutir par les grands yeux de biche d'Alison Brie quand elle pleurniche (copyright « Disney eyes »), ou encore fait la moue, et verra malgré nous ce qu'elle voit dans le personnage de Matthew, son amour de fac dont elle ne peut vraiment se libérer, alors qu'il est interprété par l'insipide Adam Scott – mais en même temps, sa platitude était un peu l'idée. Ainsi, quand Jake croisera le chemin de l'affreux Matthew et perdra totalement la boule, la scène surprendra par sa gravité. Par ailleurs, on appréciera que Leslye Headland n'ait pas réduit tous ses personnages secondaires à des vignettes comiques, et ait fait l'effort de compliquer un peu les choses avec le personnage de Paula, la compagne de Jake par défaut : là où un autre scénariste aurait flanqué cette dernière de tares congénitales pour faciliter le choix final du héros, Headland a créé un personnage tout aussi charismatique que celui de Lainey, et joué par une Amanda Peet toute aussi séduisante (quarante-trois ans, sérieusement ?). Le dernier quart du film, bien qu'émaillé de quelques scènes humoristiques réussies, comme celle du commissariat où Jake déclare sa flamme à Lainey au téléphone en mode haut-parleur, étonne d'ailleurs par sa gravité. Il arrive souvent qu'une comédie, à partir du moment où elle conte une histoire d'amour ou d'amitié et s'étoffe d'enjeux dramatiques, amorce un léger changement de ton dans la dernière ligne droite. C'est un schéma courant. Tout dépend alors de la façon dont il s'y prend. Et il faut avouer que sur ce plan, SWOP s'y prend comme il faut. Pas de virage abrupt à 180 degrés, pas de capillo-tractage psychologique, mais une progression dramatique aboutissant à une très belle scène : celle où Lainey, enfin consciente que son Matthew ne la choisira jamais, est recueillie comme un chiot abandonné par Jake, qui la déshabille, la couche dans son lit, et… se contente de la serrer dans ses bras, sur le joli Bridge, de High Highs – donnant à Sudeikis l'occasion de montrer qu'il est peut-être plus qu'un comédien efficace.

Ainsi l'on pardonnera, au nom de son charme renversant, tant la pudeur un peu honteuse de SWOP (qui ne l'empêche pas pour autant d'être fort sexy) que ses loupés comiques, puisqu'il n'est pas Dumb & Dumber, et ne dépend pas entièrement de ses gags. Et c'est là la seule clé du bâtiment. À partir du moment où la fleur bleue en nous ouvre grand les bras à ce couple aussi improbable qu'attachant, SWOP devient quelque chose de très, très plaisant, bluette fun un peu perdue entre plusieurs feux identitaires comme ses personnages sur le plan existentiel. S'il n'était qu'une comédie potache, le film de Headland pâlirait à côté des productions Apatow. S'il n'était qu'une comédie de mœurs cérébrale, il passerait pour du Woody Allen de supermarché. S'il n'était qu'une romance, on le trouverait peut-être trop prévisible, car [spoiler alert !], à la fin, the boy gets the girl (ce qui ne nous a d'ailleurs posé aucun problème). Mais mixés ensemble, ces trois ingrédients forment quelque chose qui se tient tant bien que mal. Mixés ensemble, ils donnent… Sleeping With Other People. Un critique du New York Magazine a abordé cette confusion en ces termes : « c'est charmant, même quand on n'est pas sûr de ce qu'on est en train de regarder » (« it's delightful even when you're not sure what you're watching »). C'est bien dit. Après, il y a au moins une chose que l'on est sûr de regarder : c'est Alison Brie.

Note annexe : ignorons la pique de la réalisatrice à l'encontre du génial Hook de Blues Traveler, que le personnage de Jake descend gratuitement au début du film, trait d'esprit d'autant plus casse-gueule qu'il compare ce groupe de blues-psychedelic rock des 90s aux… Beatles, summum d'originalité et de caractère, bien entendu (sic). Après tout, tous les goûts sont dans la nature, on vit en démocratie, free country, etc. On imagine même qu'il existe des gens insensibles aux charmes d'Alison Brie. Réflexion faite, non, pas ça. Ça, c'est impossible. Comment ça, « faut arrêter, maintenant » ?

ScaarAlexander
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le 13 sept. 2015

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