Il est toujours sidérant de constater comme les producteurs repoussent toujours les limites de la nullité avec cette saga.
Dans cet épisode ci, c'est au tour des films de possession d'être plagiés par l'être difforme. Jason tue peu, mais prend beaucoup possession de corps. Ce qui est par contre étrange c'est que quand Jason tue, on ellipse le meurtre, mais quand c'est le héros qui tire sur Jason, on a droit à voir chaque impact et chaque giclée de sang.
Le héros, parlons-en, est certainement le plus naze de la saga. Ok, Tommy était un peu freluquet sur les bords, mais les scénaristes avaient joué avec ça. Ici, c'est monsieur NERD athlétique pas beau qui doit nous sauver. Si en plus on nous le présente seulement à la 30ème minute, on peut s'attendre à ce que sa personnalité soit encore moins fouillée qu'à l'habitude...
En fait cet épisode ne respecte aucun autre j'ai l'impression, à part une scène de couple qui se fait trucider et de jolies nanas à poil (mais bon je n'ai jamais été un fan de la lingerie des années 90...)
Bref le film est juste nazZzement Z, on rit souvent aux dépens du film et on s'ennuie ferme aussi. Et la mise en scène digne d'un téléfilm n'aide pas. Et tout comme son prédécesseur, le titre est trompeur (purée j'aurais trop aimé voir Jason en enfer, mais bon avec si peu de budget...)