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En quête d'un regard
J'avoue avoir de prime abord été portée vers ce film à cause de son titre : quintessence de l'esprit du drame d'auteur français, non ? Deuxième fois que je vois tourner Vincent Rottiers et toujours...
le 4 août 2015
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1
Les liens du sang.
Tiré d'un fait-divers réel survenu en 1996, "Je suis heureux que ma mère soit vivante" est le premier film réalisé par Nathan Miller, fils de Claude (qui est crédité également comme réalisateur, mais il a davantage servi de caution que d'un réel travail de mise en scène).
Le film est un portrait intimiste d'un jeune homme qui recherche sa mère biologique, à l'insu de ses parents adoptifs, et ce durant une dizaine d'années. C'est assez court, avec un final assez poignant qui montre que les liens du sang sont plus forts que tout, mais c'est plombé par une mollesse dans la mise en scène, une absence de rythme, et des longueurs incroyables qui m'ont empêché de rentrer dans le film comme je l'aurais voulu.
Par contre, bon point pour les acteurs (tous inconnus, ou presque), surtout Vincent Rottiers, surprenant de présence et de charisme. Je l'avais déjà apprécié dans "A l'origine", mais ici, pour son premier grand rôle, il crève l'écran.
Je me demande ce qu'aurait le film réalisé par jacques Audiard, qui devait mettre en scène le film, car la recherche d'un parent, les amours filiaux, tout était fait pour lui.
Le film est un portrait intimiste d'un jeune homme qui recherche sa mère biologique, à l'insu de ses parents adoptifs, et ce durant une dizaine d'années. C'est assez court, avec un final assez poignant qui montre que les liens du sang sont plus forts que tout, mais c'est plombé par une mollesse dans la mise en scène, une absence de rythme, et des longueurs incroyables qui m'ont empêché de rentrer dans le film comme je l'aurais voulu.
Par contre, bon point pour les acteurs (tous inconnus, ou presque), surtout Vincent Rottiers, surprenant de présence et de charisme. Je l'avais déjà apprécié dans "A l'origine", mais ici, pour son premier grand rôle, il crève l'écran.
Je me demande ce qu'aurait le film réalisé par jacques Audiard, qui devait mettre en scène le film, car la recherche d'un parent, les amours filiaux, tout était fait pour lui.
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le 30 janv. 2012
Critique lue 496 fois
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