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Logical wrong
La raison humaine à l’épreuve de l’irrationnel amoureux. Tel pourrait être la vaste thématique qui unit la majorité des projets de Kaufman, du scénario d’Eternal Sunshine of the Spotless Mind (un...
le 7 sept. 2020
119 j'aime
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Let it snow, let it snow, let it snow
Film estampillé Netflix, réalisé par le scénariste de l'exceptionnel Eternal Sunshine (également réalisateur d'autres longs métrages que je n'ai, à l'heure où j'écris ces lignes, pas vus), Je veux juste en Finir débute comme à peu près n'importe quel drame. Pour autant, il sort assez vite de son cadre pour glisser vers le trip philosophique, avec des réflexions diverses et variées sur la vie, des digressions sur des œuvres, et ça devient complètement cinglé. On est là sur un pur objet de cinéma, le scénario est cryptique au possible, et en l'état assez incompréhensible, mais la maîtrise technique et émotionnelle de la chose en fait une qualité : le film ne se comprend pas, il se vit (insérer pique sur Christopher Nolan). Kaufman crée des situations de malaise absolu, qui tirent sur l'horreur, on a toujours le sentiment que quelque chose ne colle pas. Et les réflexions sur l'amour, sur la vie tombent juste, le spectateur s'y reconnaît toujours à un moment ou à un autre. Grand trip malade, pur film, je ne peux que le recommander.
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Écrit par
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Créée
le 24 déc. 2020
Critique lue 52 fois
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