Jeu fatal commence par une présentation orale du héros :
C'est un prêtre qui brosse son portrait :
"Steven, ta femme t'as largué parce que t'es un con, t'es alcoolique, tellement alcoolique que même la police a dû te virer, tu vois ta fille une fois tous les 36 et quand tu la vois tu décuves ivre mort dans le canapé... mais je sais qu'au fond il y a cette étincelle..."
Steven a l'air sceptique.
Il s'en va et on le retrouve à une table de jeu entrain de dilapider son pognon. Alors qu'il se barre en loussedé après sa défaite, un mec vient le chercher pour lui donner une mission.
Steven retrouve alors son étincelle et se met à éliminer un par un des méchants qui "ont aussi une famille", comme le dit très justement ce messager en costume. Peu à peu il reprend goût à la vie, casse des gueules, défait le nouveau mari de sa femme, casse des gueules, sauve sa fille et baise la nana.
Un pur chef d'oeuvre contemporain centré sur la sublime personnalité de Steven.
J'ADORE !