Une jeune pâtissière monte à Mexico. Elle croit trouver l'amour. Désenchantée, elle s'invente une vie aux yeux des autres avec ce leitmotiv : "Un jour, il faut choisir entre l'oubli et l'espoir." Roberto Gavaldon est avec Emilio Fernandez le grand réalisateur mexicain, des années 40 à 60. Ce mélodrame schizophrène, aux accents hitchockiens, est une parfaite réussite. Rehaussé qui plus est, par la somptueuse photographie en noir et blanc de l'immense Gabriel Figueroa.

Cinephile-doux
7
Écrit par

Créée

le 9 août 2019

Critique lue 134 fois

1 j'aime

Cinephile-doux

Écrit par

Critique lue 134 fois

1

D'autres avis sur Jours d'automne

Jours d'automne
Cinephile-doux
7

Une pâtissière à Mexico

Une jeune pâtissière monte à Mexico. Elle croit trouver l'amour. Désenchantée, elle s'invente une vie aux yeux des autres avec ce leitmotiv : "Un jour, il faut choisir entre l'oubli et l'espoir."...

le 9 août 2019

1 j'aime

Jours d'automne
Plume231
7

Gâteaux de cérémonie, robe de mariée et mythomanie

Un film mexicain totalement méconnu et qui mérite pas du tout ce statut peu enviable. Il n'est pas parfait parce que ça aurait été bien de savoir ce qui est dans son passé a pu pousser la...

le 23 août 2013

1 j'aime

Jours d'automne
kinophil
7

Madame rêve

Une innocente jeune mexicaine de province arrive à la capitale et se fait engager comme pâtissière. Dans le genre, c'est une virtuose. Elle monte des chantilly aussi vite qu'elle s'invente des rêves,...

le 4 juil. 2021

Du même critique

As Bestas
Cinephile-doux
9

La Galice jusqu'à l'hallali

Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...

le 28 mai 2022

79 j'aime

4

France
Cinephile-doux
8

Triste et célèbre

Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...

le 25 août 2021

79 j'aime

5

The Power of the Dog
Cinephile-doux
8

Du genre masculin

Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...

le 25 sept. 2021

72 j'aime

13