Au premier visionnage, vite abandonné en cours de route, j’avais écrit la critique suivante « cucul la praline, surjoué, vulgaire (suggérer la gourmandise avec des personnages qui mangent comme des porcs, parlent la bouche pleine, en fermant les yeux pour faire "Mmmmmh" ou, je cite, "MIAM MIAM"), niais, empoté, prend son public pour des cons, rapidement insupportable : Meryl, mais qu'est-ce que c'est que cette voix ? Oui bon, apparemment la vraie Julia parlait comme ça... mais on dirait qu'elle joue atrocement mal.
Quel dommage, les décors ont pourtant du charme, parfois, mais l'agacement l'emporte sur tout le reste... ».
Au second visionnage, complet cette fois-ci, j’admets que ces défauts ne sont pas si catastrophique ni insupportables et que l’histoire finit par être prenante.