Je n'étais pas pour, pour aller voir ce Jurassic World coécrit et réalisé par le cinéaste Colin Trevorrow (Safety Not Guaranteed) avec toujours l'initiateur de la franchise à la production, le Roi du divertissement, Steven Spielberg. Dans ce parc thématique abritant les dinosaures, une nouvelle bête conçue pour être plus terrifiante et rusée s'échappe, menaçant les visiteurs ainsi que les neveux de la directrice, en cavale sur le site. Renouant avec l'esprit ludique de la trilogie Jurassic Park, ce quatrième épisode multiplie les séquences spectaculaires de monstres dans un pénible scénario au jeu terne et énervant de ses interprètes principaux, surtout le dresseur de raptors Chris Pratt (Zero Dark Thirty, Les Gardiens de la Galaxie), Bryce Dallas Howard (La Jeune Fille de l'eau, Spider-Man 3), Irfan Khan (Slumdog Millionaire, The Amazing Spider-Man), Vincent D'Onofrio (Full Metal Jacket, Men in Black), Ty Simpkins (Insidious, Iron Man 3), Nick Robinson (La Cinquième Vague), B. D. Wong (Jurassic Park, Sept ans au Tibet) et notre Omar Sy national (Le Carton, Intouchables). Cette suite/reboot de la trilogie Jurassic Park est devenu maintenant le plus grand succès de la saga Jurassic, le plus gros succès mondial de 2015 et le troisième plus gros succès de l'histoire du cinéma au box-office mondial avec 1,671,713,208 $ derrière Avatar et Titanic de Monsieur Cameron James.
Bienvenue à Jurassic World.
Zach et Gray sont envoyés par leur mère passer une semaine sur une île du Costa Rica qui abrite le Jurassic World, un parc d'attractions mettant en scène des dinosaures grandeur nature. Les adolescents doivent être pris en charge par leur tante, Claire. Mais celle-ci, très occupée par son poste de manager et par la sécurité du parc, les confie à une assistante. De son côté, Owen Grady, dresseur d'animaux, travaille avec de jeunes dinosaures qu'il tente d'apprivoiser…
Le parc est fermé !
Quatorze ans ! C'est le temps qui s'est écoulé depuis Jurassic Park III, une période nécessaire pour que la saga ressuscite sur grand écran. Suite à son succès mondial, Jurassic World ne doit pas être si mauvais mais après visionnage de l'œuvre, j'aurais mieux fait de m'abstenir et d'attendre pour le regarder en famille dans mon salon. Car entre les gamins experts en mécanique, la tante championne du 100 mètres en talon aiguilles et le nouveau méchant dinosaure hybride, l'I-Rex en mode camouflage Prédator. Seulement cinq pour la note, juste pour le retour des dinosaures avec les superbes effets spéciaux et sans oublier la musique de Michael Giacchino.