"Drag me to hell" est un sacré défouloir, et qu'il est bon de s'amuser à flipper devant un film aussi généreux dans ses moments.
Loin de là de dire que c'est un film terrifiant, disons plutôt que la cathartie opère tellement bien avec son héroïne pure et fragile se salissant pour se sortir d'une situation ô combien horrible pour le commun des mortels lambda que nous sommes, qu'on en souhaite encore et encore.
Et ce gore tellement imprévisible qui fait mouche à chaque apparition, c'est un festival de situations rocambolesque et exagérée qui s'offre dont on ne se lasse jamais.
Malheureusement, la technique numérique sent parfois le daté, et bien que je sois prêt à défendre corps des films bien plus utilisant le numérique, force est d'admettre qu'on préfère les ketchups et les poupées en cire lors du métrage, d'un autre côté c'est pas si dommageable étant donné que la technologie reste bien utilisé.
Pour conclure, disons que c'est le genre de film que je me plais à regarder, que je veux revoir avec des copains une bière à la main, un moment de déconne et de flippe savamment bien mélangé... Et puis y a ce bouc.