Kika (Mme Veronica Forqué), maquilleuse de cinéma, vit le parfait amour avec Ramon. Son beau-père revient en Espagne pour gérer l’héritage de son épouse, mère de Ramon, et fait de Kika sa maîtresse. Alors qu’elle est victime d’un viol chez elle, la scène est filmée par un voyeur et envoyée à une journaliste avide de faits divers (Mme Victoria Abril). Elle découvre que le beau-père n’est autre que l’assassin de sa femme.
Si le cinéaste nous habitue au kitsch et à un style heurté souvent agressif, ce film est probablement le plus violent visuellement, et l’un des plus durs psychologiquement avec La Piel que habito. Il est très dur à supporter, et avoue l’avoir rejeté, malgré les dénonciations qu’il opère.