Final cut.
A la sortie de la première partie du diptyque "Kill Bill", beaucoup ont reproché une certaine superficialité, un manque palpable d'émotion derrière le défouloir jouissif qu'offrait Tarantino. Pas...
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le 14 nov. 2013
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Il est difficile d'imaginer un film aussi différent de "Kill Bill 1" que "Kill Bill 2" : construit sur d'autres "références" (Sergio Leone et les films de kung-fu), il est clairement recentré sur la parole (je pense par exemple à la théorie de Bill sur Superman, utilisée comme éclairage sur son attitude vis à vis de Beatrix), et introduit une part considérable de pathos dans ce qui était au départ une simple mécanique conceptuelle et froide. D'où la déception que j'avais ressentie à l'époque de la sortie du film, qui me semblait moins "pur" que le premier volume. D'où la nécessité de le réévaluer par rapport à d'autres critères : au final, il se pourrait que "Kill Bill 2" soit le Tarantino le plus "humain" à date - avec "Jackie Brown" - de sa filmographie. [Critique écrite en 2011]
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Créée
le 21 août 2014
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